La blogueuse Prospéryne qui avait déjà publié un billet (là>>>) au sujet de mon roman Les têtes rousses est aussi libraire dans une librairie indépendante à Saint-Hyacinthe et peut donc écrire dans la revue Le libraire. Ce qu'elle a fait dans le dernier numéro, le 70, à la page 15.
Belle surprise, je l'en ai remerciée personnellement. Tant qu'on en parle, c'est comme si le roman était encore en vie.
La fin de semaine dernière, j'ai rencontré des descendants de ma Bridget Bushell et Denis Lynch. Leur grand-mère Mabel Lynch était la cousine de mon grand-père, Léo Deguire. Ce sont les seuls descendants qui m'ont donné signe de vie lors de mes recherches. Ce fut une rencontre fort agréable et je me suis trouvé quelques points communs avec l'une d'eux: nous sommes nées toutes les deux le même mois, nous sommes allées en Irlande toutes les deux au début des années '70, elle a cheval, moi en vélo. Elle compte bien y séjourner pour écrire un livre. Son fils qui est de la sixième génération est roux, ce qui a rendu bien jalouse ma mère à qui j'ai montré la photo. Elle qui aurait tant voulu l'être, comme l'était son frère et sa soeur.
Et j'ai également appris que mon roman sera à la boutique (dirigée par la Corporation de la mise en valeur de Grosse-Île) du Parc national de Grosse-Île pendant toute la saison estivale soit de mai à octobre.
(illustration tirée de la page 15 de la revue Le libraire)