Ces temps-ci, il est de bon ton de dire du mal de Sarkozy quand on parle politique. A tel point que l’on peut même se demander comment il jouit encore de près de 50% de sondages favorables ! Ou plutôt, si… Je ne suis certainement pas le seul à penser du bien du Président.
Et je dois dire que j’assume particulièrement bien ce penchant : je suis Sarkozyste et je l’assume !
Depuis 10 ans qu’il brille dans toutes les fonctions qu’il occupe, j’ai rarement été en désaccord avec lui :
1) Sur la Sécurité : il a su dire haut ce que la plupart d’entre nous vivons. Une explosion de l’insécurité et le besoin de montrer aux voyous qu’ils n’auront pas le dernier mot
2) Sur la Justice : il a pris les mesures justes pour placer les victimes au cœur du système. Beaucoup doit encore être fait, mais avec lui on sait qu’on va dans la bonne direction. Celle de moins de corporatisme, mais de plus de justice pour les victimes.
3) Sur l’International : il a été magistral dans les crises qu’il a dû gérer comme celle entre la Géorgie et la Russie ; et brillant en Côte d’Ivoire, et en Lybie. Enfin, il a parfaitement représenté la France et n’a pas démérité face aux grands du monde.
4) Sur la Justice sociale : face à l’égalitarisme prôné par la Gauche, il a les mots justes : « Celui qui travaille ne doit pas gagner moins que celui qui ne travaille pas ! » ; ou encore « qu’il est juste que celui qui a travaillé toute sa vie et payé toutes ses taxes et ses impôts puisse transmettre son patrimoine à ses enfants sans payer encore des droits de succession » ; ou quand il insiste sur la république des droits et des devoirs
5) Sur l’Immigration : la logique est claire : on ne peut accueillir que ceux que l’on peut décemment intégrer. « si vous avez 5 places à table, il ne faut pas inviter 10 personnes à manger ! ».
6) Sur la gestion de la dette publique : on ne peut dépenser plus que ce que l’on gagne. Une règle d’or est urgente !
7) Sur la Nation et son identité : défense des ses frontières et de son identité, de son héritage chrétien, de ses églises ; pas d’Islam en France, mais un islam de France, compatible avec les valeurs de la République. Désavouant tout relativisme en la matière.
8) Sur l’Autorité : le maître doit s’imposer face à l’élève. A l’opposé du laissez-faire issu de 1968.
9) Sur l’Effort : il a toujours les bons mots pour tous ceux qui choisissent l’effort pour vivre sa vie dignement. La France qui se lève tôt
10) Sur l’incarnation de la fonction. Contrairement à d’autres, je ne lui reproche pas grand-chose dans ce domaine. Au contraire, à chaque grand moment et à chaque grande manifestation ; il était à la hauteur. Sommets de Chefs d’Etat, fêtes nationales, attentat comme récemment à Toulouse, soutien aux soldats et à leurs familles.
Mais à côté de toutes ces mesures, il y a un humanisme très présent en lui. Il sait récompenser le mérite au-delà des origines, des différences. Il sait travailler avec tous ceux qui ne pensent pas comme lui. Et il sentira toujours très à l’aise avec ceux que l’on appelle « la France d’en bas ». Il a toujours les mots et les gestes indiqués. Sachant dénoncer les élites qui se croient tout permis.
Pour toutes ces raisons, je suis Sarkozyste et fier de l’être. Et la France a encore besoin d’un tel homme !