Magazine Journal intime

La cabane au bout du monde

Publié le 09 mai 2012 par Frédérique Paresseuse

Retour aux choses normales après 2 semaines de suspens, d'espoirs, d'angoisses et de rigolade, je l'espère.
C'est pas trop tôt, hein ? D'autant plus que je vous avais laissés plantés là comme des vieilles chaussettes avant les présidentielles, pas parce que j'étais la plume secrète de l'un ou l'autre candidat, mais parce que j'ai pris des vacances.

Fermez les yeux, je vous emmène. Enfin, non, ouvrez-les pour lire ce qui suit et ensuite fermez-les pour rêver...

Imaginez un bungalow caché dans la pinède, dominant la mer et un immense banc de sable qui mue au fil des marées.
Une plage qui s'étend à l'infini.
Une dune immense, d'une blancheur inouie qui tranche sur le bleu du ciel et le vert de la forêt.
Des voiles de kite, de parapente... de cerf-volants pour les plus prudents qui virevoltent dans le ciel.
Un bar où on vous sert des mojitos sur fond de musique rock.

Un restau avec une terrasse sur la mer où l'on déguste les produits locaux en admirant le coucher de soleil.


Quand j'y suis allée la première fois, j'ai eu un flash : je me suis vue en Australie dans les Whitsundays ou sur la 90 mile beach sauf qu'ici, les gens parlent français car on n'est qu'à 3 heures de Toulouse.
Après avoir adoré Contis, nous voilà à découvrir avec émerveillement le bassin d'Arcachon.
Clichés souvenirs :

Pyla-001

Et l'adresse du paradis (hors saison, c'est important de le préciser car l'été, c'est blindé).


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