Je vous avais déjà raconté mes aventures avec Agrypnus murinus, le taupin farceur qui m’avait fait croire qu’il était mort.
Je le revois cette année, à la même époque. Il n’a pas fait le mort mais il m’a laissé entrevoir ses ailes.
Si je le rencontre si souvent, je devrais trouver ses larves dans le sol. C’est bien le cas, elles sont aussi nombreuses que celle de l’hépiale du houblon.