Certainement pas les médias ! Car s’il y a une constante en politique, tant à Paris que sous d’autres cieux, c’est que les médias sont toujours à Gauche et se sont pratiquement fixés comme mission de faire élire les candidats de Gauche. Même les sondages conduits dans les écoles de journalismes l’attestent : la gauche frôle les 100% de sympathisants parmi les journalistes en herbe !
Aucun grand média français ne fera sa une sur les actes sectaires que le nouveau Président de la République n’a cessé de poser depuis son élection : il avait commencé par n’inviter que les seuls 1ers Ministres socialistes pour son investiture, et a refusé toute ouverture politique dans son gouvernement en nommant quasi exclusivement des ministres Socialistes. Dans le même ordre, aucun grand média ne dénoncera les anciens démêlés judiciaires des nouveaux ministres. Non pas que je pense qu’ils sont illégitimes pour avoir été un jour condamné, mais parce que François HOLLANDE lui-même avait fait de cette condition « morale » un argument de campagne. Avec une autre majorité politique, les médias se seraient fait plaisir de dénoncer le Président qui, à peine élu, rend honneur à un homme qui avait tenu des proposes racistes ; ils auraient cru bon de creuser les relations qui lient le pouvoir fraîchement élu avec tous ces millionnaires qui financent les médias et les entreprises qui lui sont favorables ; ils s’en seraient également pris à la « 1ère Compagne de France », journaliste politique de carrière qui se permet de chasser du QG présidentiel les députés qui lui déplaisent ; ou que l’ancienne compagne du Président soit pressentie pour Présider l’Assemblée Nationale ; tout comme ils se seraient offusquer de si peu d’expérience au Gouvernement alors que l’Euro risque chaque jour l’explosion, que la guerre en Iran ou en Syrie s’approche, que des négociations capitales doivent être conduites avec la Chine, les USA, les partenaires européens,…
Bref, le Socialisme au pouvoir, c’est le sectarisme, le copinage et l’incompétence du pouvoir.
D’autres corps intermédiaires sont acquis à la Gauche : c’est le cas de la grande majorité des syndicats. En lieu et place de son engagement envers les droits des travailleurs, les syndicats français sont littéralement liés au Parti socialiste. Idem pour les artistes, les humoristes, les magistrats, les enseignants,… En dressant cette liste on peut même se demander comment plus de 48% ont voté pour le Président Sarkozy ! Mais c’est bien de là que viendra le salut : la majorité silencieuse existe bel et bien ! On le voit sur Facebook, sur Twitter et en général sur tous les lieux où les Français se réunissent librement pour discuter : les avis sont plus partagés que dans les lieux de pouvoir officiels.
Si la France est majoritairement de droite et du centre comme chaque élection nationale le confirme depuis des décennies, il n’est pas juste que tous les corps intermédiaires et presque toutes ces corporations soient presque à 100% de Gauche. La solution doit venir du peuple, c’est la formule gagnante qu’avait prônée le grand Charles De Gaulle en imposant l’élection du Président de la République au suffrage universel. Il est urgent que la France, sur les sujets de société importants ou avant des lois stratégiques aient davantage recours aux referendums. L’exemple le plus emblématique, c’est le droit de vote pour les étrangers non-communautaires. Un sondage parmi les soutiens des Socialistes cités plus haut donnerait une majorité écrasante pour ce projet qui transformerait durablement la vie électorale française. Alors qu’on le sait, la majorité des français y est hostile.
Pour répondre à la question du titre : il faut mobiliser les gens afin qu’ils consacrent le temps nécessaire à s’informer de ce qui se passe réellement ; et qu’ils reprennent en mains le destin de leur pays. Et surtout éviter la démobilisation voulue par le nouveau pouvoir. Car quand ses représentants lui font défaut : le peuple a le devoir de reprendre sa souveraineté. Le sectarisme socialiste est un corset qui étouffe la République