Mécanique.
Chimique.
Automatique.
Quoi qu'il en soit, c'est systématique.
Les larmes coulent, encore et encore. Et encore et encore. Ne pas penser. Ne pas y penser. Mais penser à ne pas y penser, c'est y penser.
Alors les larmes coulent.
C'est mécanique.
Ou chimique.
Peu importe, tout ce que je peux vous dire c'est qu'à la longue, tant de larmes, ça pique !
Et ça ne s'arrête jamais. Les glandes lacrymales ne s'épuisent-elles donc jamais ? Le chagrin ne s'estompe-t-il jamais ?
Pleurer toutes les larmes de son corps peut-il provoquer la lyophilisation de l'organisme ?
Question du jour...