J'aime sa diction, c'est quelque chose qui se perd, la diction.
Et avec Cannes, à part Tata Suzanne qui se fait défoncer par l'entrée des artistes, on voit les jeunes générations, on voit Pierre Niney. (qui a une très belle diction aussi, c'est bien, j'aime les gens qui ont une belle diction.)
Avec les beaux jours l'inspiration revient à petits pas timides, et ma chambre sent l'essence de térébenthine.
Comme vous pouvez le constater, cet article a pour titre le dernier Audiard mais n'en parle pas.