La municipalité de Pékin veut améliorer l’hygiène des WC publics. Les nouvelles normes de propreté limitent à deux le nombre de déchets pouvant traîner au sol et à deux le nombre de mouches en vol. Un internaute chinois ironique mentionne que si les dirigeants veulent vraiment que les mouches soient comptées « il n’y aura bientôt plus un seul chômeur à Pékin ». Forte de cette conclusion, une interrogation s’impose dans la capitale Française : Les parisiens, qui ne supportent plus les odeurs d’urine dans le METRO, vont-ils, eux aussi, créer de nouveaux emplois dans le domaine de la propreté ? PS/ si ces billets vous plaisent, parlez-en à vos amis.
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