Koi Kaze

Publié le 31 mai 2012 par Homer62 @homer62

Je viens de terminer le visionnage express de Koi Kaze. Express parce que j'ai simplement dévoré cet animé, dont les 13 épisodes installent une ambiance extraordinaire. Si graphiquement le style rappelle que ce japanimé à déjà dix ans, si le rythme particulier, latent, peut rebuter les fans d'action, je dois dire que je sors du visionnage avec une étrange sensation. La musique est parfaitement adaptée, composée de nappes discrètes. Ca colle. Surement, un des meilleurs animés qu'il m'ait été donné de voir ,tant son scénario touche à un sujet sensible: un inceste au coeur duquel se joue une romance. Une histoire en marge de la société. N'allez pas croire en la vulgarité, en la pédophilie ou en quoi que ce soit d'illégal. Ici, on parle de sentiments. Le synopsis: Koshiro Saeki est un jeune homme de 27 ans travaillant au sein d'une agence matrimoniale. Sa petite amie vient de le quitter et son père lui annonce que sa petite sœur, Nanoka Kohinata, va bientôt venir partager leur toit afin de se rapprocher de son école. Koshiro n'a jamais vraiment connu sa petite sœur, âgée de 15 ans, car ses parents ont divorcé peu après sa naissance. Vivant chacun de leur côté, l'un avec le père l'autre avec la mère et ne partageant même pas le même nom de famille, ils ne savent rien l'un de l'autre. Avant même qu'elle ne s'installe et que son père ne la lui présente, Koshiro fait pourtant sa rencontre par un pur hasard dans le métro. Il l'invitera au parc d'attractions et c'est là que le jeune homme commencera à ressentir des choses pour cette jeune lycéenne... (source) Sans être un expert en la matière, avec une sélection hétéroclite d'animés, je clôt le chapitre de Koi Kaze avec un sentiment de satisfaction, sans que s'enlève l'ambiguité et cette étrange sensation une fois le générique terminé. Un grand animé.