Restructuration de printemps, suite

Publié le 19 mars 2008 par Dk

Les mains plongées dans le traitement de texte, je continue à tripatouiller la structure de mon roman en cours, Paris – New York – l’Univers (je l’appelle comme ça depuis le début, mais je me dois de vous faire une révélation fracassante : ceci est un titre provisoire, mais comme le provisoire se révèle parfois plus durable qu’on ne le pense au départ, allez savoir si ce n’est pas celui que je vais garder…). En fait, l’histoire se passe en trois temps, habilement reflétés par le titre (« Ohhh ! » admiratif de la foule), puisque la première partie se déroule à Paris, la deuxième à New York, et la troisième dans l’Univers. Avouez que vous êtes impressionnés par tant de logique implacable.

En ce début de semaine, j’ai réussi à m’arranger avec les mots et les phrases pour que la partie Paris ressemble un peu plus à ce que j’avais à l’esprit lorsque je l’ai imaginée, et maintenant je vais devoir m’attaquer à la partie new-yorkaise, qui souffre de deux maux :

-         Elle n’est que partiellement écrite

-         Ce qui existe est trop bien rangé, démonstratif, plan-plan, limite gnan-gnan.

Ça ne vous donne pas envie ? Ben moi non plus, voyez-vous, c’est bienpour ça qu’il va falloir que j’arrive à trouver un moyen de dynamiter tout ça pour y injecter un peu de ce joyeux bazar qui fait qu’un texte devient vivant.