Après bon nombre de tentative, d'échec et de repetition, nos valeureux Navy Seal ont réussi à atteindre le sommet tels des Shadocks bornes. Il ne va pas sans dire que l'installation fut longue...vraiment longue. Nous avons finalement rejoins le port de Stromness aux alentours de minuit car nous devions attendre le créneau de marée permettant un accès sans trop de courant. L'équipage était absolument transit par le froid et la fatigue. Heureusement le repas, à base de graines et de légumes, concocte par les adeptes du bio, su nous redonner les forces necécessaires pour se coucher en envisageant le lendemain sereinement. Le plan était simple. Rejoindre avec notre bateau l'île de Hoy pour que l'équipe de baseux (Tancrede, Sébastien et Anicet) se jette depuis la plus haute falaise d'Ecosse. L'un des ennemis du Base est le vent alors que c'est l'ami du voilier... Or nous avons pu atteindre les côtes d'Hoy à la voile. Nous avons débarque nos baseux en annexe et sommes restés à naviguer en bas de la falaise pour pouvoir récupèrer les copains des qu'ils barboteront dans l'eau avec leur parachute.
L'attente fut longue... faut dire que se décider à se jeter du haut de 330m avec pour ligne de vie un parachute pouvant s'ouvrir, ou pas, en face de la falaise pousse par une rafale, demande resolument abnégation, conviction et folie. Le maître dans se domaine is : "Tancrede Melet Couillu le Caribou Même pas Peur la Mort"... Cette ispisse di counasse s'est envolé vers son destin d'un pas élégant...A l'inverse du début de sa chute. Mais l'arrivée fut magique, James Bond style, à faire frémir foule et filles. Il s'est détaché de son harnais, s'est suspendu aux cuissardes et à plonge. Le tout exécute avec délice. Une fois sèche notre héros s'est mis en tête d'y retourner...Pendant ce temps la, l'equipe, au sommet, gambergeait sec. Le départ dangereux de Tancrede et le vent forcissant revisaient leur ardeur, avec raison. Quelques heures après le vent faiblissait, Tancrede avait rejoint le groupe et Anicet s'envolait. Quel saut! Son premier saut, une ouverture de base twistee jusqu'aux oreilles face au mur. Face à la fin. Merde! Je me suis chié dessus pour lui. Il a bien réagi, en un éclair, et s'est sauvé la vie. Il a volé parmi les oiseaux et à amerrit tranquillement. L'esprit, quand même, chamboulé par sa vision de la falaise... Tancrède, arme de son tracking pant, nous a envoyé un salto arrière puis s'est posé, que dis-je, m'a rejoins directement sur l'annexe avec une finesse qui m'à stupéfaite. Bouche bée. Orcades, on est la....
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