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MON ACROSTICHE INEDIT SUR CE BLOG: Charles Baudelaire

Publié le 19 mars 2008 par Lauravanelcoytte

1677494370.jpg« Correspondances » entre visible et invisible.

« Harmonie du soir », mystique de l’espérance.

« Allégorie », analogies, synesthésies, symboles

« Rêve parisien », univers minéral de prodiges

« La géante » s’endort sous un soleil maléfique

« Elévation », un envol avant la chute inexorable.

« Sed non satiata », incantation satanique à la femme

  « Bohémiens en voyage » sous la protection de Cybèle. « A celle qui est trop gaie », Madame Sabatier, un « beau paysage. » « Un voyage à Cythère » paysage édénique et vision morbide. « De profundis clamavi », psaume dans un paysage polaire. « Epigraphe pour un livre condamné » par des ignares. « L’albatros » ou la condition éternelle du poète. « Avec ses vêtements ondoyants et nacrés », la femme Invite au voyage, fleur du mal et poème en prose.

« Réversibilité », ange gai rongé par l’angoisse

Ennemi et moteur de l’artiste

Pour lire d'autres poèmes de moi, cf. mes recueils de poèmes en vente ici:

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LES COMMENTAIRES (1)

Par valentini
posté le 10 mars à 11:02
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Banana split

J'ai moins de souvenirs que si j'avais un an! Et ran et pan turlututu chapeau tue-temps, quarante siècles de fables et fariboles! Alors que d'autres ont mille ans sur les guiboles, deux pantalons longs, longs comme un six juin au bout d'l'ennui, ping! Pong! Adieu au glas, oui! Et frou! Frou! Retour au nid, la chouette à l'aile rude et rouge cède au rossignol son ciel ébranlé, ça bouge! Silence! On tourne! Carré blanc sur carré blanc, Paris, Alger, parfum de mai, c'est le bon plan, et gros, tout un cinéma, tiens! Voilà Moïse abhorré de la lune, mais sauvé de la mouise, bonbons, esquimaux, chocolats, quand ça s'éteint, ça reprend, c'est sans fin, si tu ris pas, tintin! Fiers producteurs à la beauté qui tombe pile merci d'être indulgents, mon cerveau est débile.

Il est léger, léger, ni non plus de son temps, pierre aimantée et recrachée par un volcan, pierre fossile aussi dont je suis vaguemestre et pire également: cent-cinquante trimestres de travail mort, météore dans un jardin radioactif, caillou lunatique, dit l'un, mauvais X, dit l'autre, en ruminant une herbe.

Mais casques et cloches, eux aussi, sont imberbes.

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