Et leur voix commence à se faire entendre. Elles sont invitées dans différents colloques ou manifestations au Québec.
Le 22 avril, elles ont participé à la manifestation historique du "Jour de la terre". 250 000 personnes ont défilé pour protester contre la politique environnementale du Québec et du Canada, l'exploitation des gaz de schistes et des sables bitumineux, le retrait du Canada du protocole de Kyoto.
Mais le chant des mémés déchainées résonnent tristement car le dernier budget fédéral a serré la ceinture aux agences d'évaluations environnementales pour accélérer le développement économique lié aux ressources naturelles.
Source (Rue89)