Ses Chroniques martiennes m’attendent dans un coin, pas encore ouvertes, alors que certains mots de Fahrenheit 451 résonnent toujours, plus que ne l’avait fait Orwell à l’époque – et Huxley, auquel j’étais resté étanche.
Sa force de frappe littéraire, hélas, vient de se taire, et ce monument de la Science Fiction et de l’anticipation s’est éteint – espérons pour encore résonner de nombreuses années.
Au revoir, Ray Bradbury. On vient de perdre un grand.
Allez voir cette vidéo, Ray Bradbury faisant un tour d’horizon de sa littérature et de celle des autres, une merveille.