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Tripoli sans armes

Publié le 08 juin 2012 par Podcastjournal @Podcast_Journal
Mohamad Jenzarli, un jeune homme de 22 ans, s’est mêlé à la foule par hasard lorsqu’il se dirigeait vers le bureau de taxi à coté de la place pour trouver que les voitures ne circulent pas jusqu'à ce que l’évènement sera terminé. C’est bien ce qu’ils sont entrain de faire, dit-il, je suis content de me retrouver ici maintenant parce que je suis convaincu qu’il faut nous laisser vivre au lieu de nous pousser à mourir.

Différents groupes ont exprimé leur point de vue commun différemment et avec plusieurs langue. Une vie commune stable et en toute sécurité était le slogan de base à partir duquel les autres variantes venaient des 4 coins d’El Fayha’a (Tripoli). Et malgré que certains aient été préparés pour ce jour, des individus se sont venus exprimer leur mécontentement de la situation difficile et très sérieuse de la ville en frappant les cuillères contre des casseroles métalliques comme pour se moquer du danger qui pèse sur Tripoli récemment.

Dr. Mona Assoum, dentiste qui s’est exprimée en français, disait qu’aucun groupe n’a le droit de décider tout seul à propos de la deuxième capitale du pays du Cèdre, Tripoli est pour tous ses citoyens, répétait-elle.

Après les mots du maire de Tripoli la clôture était assurée avec une chanson rap par 3 jeunes filles qui chantaient leur amour de leur ville.

Les photos du diaporama ci-dessous ne manqueront pas de vous faire vivre ce qui s’est déroulé pendant une heure durant cet après-midi.

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