Alors que je partais retrouver le peu d’amis qu’il me reste à ce jour, je suis tombé tout à fait par hasard sur ça :
Cela me fait toujours bizarre – ou drôle – de savoir que l’on casse en mille morceaux un endroit où des gens ont vécu et travaillé. Il y a eu des collaborations, des joies et des peines, des conflits et des retrouvailles. Bref, de la vie. Au final, une autorisation de la préfecture, un gros bulldozer et il ne reste plus rien de ce qui fut l’âme de ce garage.
Ici, pour le coup, s’adresser au 158 rue de Charonne ne servira plus à rien.
I love you. All of you. And Lulu.