16h27. Une forte explosion a été entendue. Le GIPN aurait cassé une porte pour s’introduire à l’arrière de la banque. Le bruit que de nombreux témoins ont pris pour un coup de feu n’en était pas un.
16h10. Les deux otages sont des hommes, dont le directeur de l’agence CIC, selon un témoin sur place.
16h04. Le forcené veut parler à la presse. L’homme aurait libéré des otages en échange de pouvoir s’exprimer devant les jounalistes.
15h59. “Des antécédents médicaux”.Selon le maire de Toulouse Pierre Cohen, qui s’est rendu sur place, le forcené “n’est connu que pour des antécédents médicaux”
15h56. Deuxième otage libéré. Il s’agirait d’une femme.
15h49. Un séjour à l’hôpital Marchant.D’après une source policière, le preneur d’otages aurait effectué un séjour dans l’hôpital psychiatrique Gérard-Marchant.
15h40. Un second coup de feu tiré dans la banque selon la police.
15h39. Les policiers de la BRI encercleraient la banque selon des sources sur place.
15h38. D’après le préfet, le forcené agirait par conviction religieuse et non pour l’argent.
15h14. La sœur du preneur d’otage témoigne : “Mon frère a la rage”. La soeur du forcené a joint son frère sur son portable au cours de la prise d’otages : “Il n’avait pas l’air d’avoir peur et il avait l’air bien”, a-t-elle confié à l’AFP. La jeune femme qui habite Toulouse explique que son frère a 26 ans et qu’il “avait été placé à la Ddass quand il était petit, a la rage et a peur du monde extérieur”.
15h05. Le preneur d’otages serait originaire de Castres dans le Tarn.
15h03. Le ministère de l’Intérieur en alerte. ”Manuel Valls se tient en permanence informé de l’évolution de la situation”, a indiqué le ministère de l’Intérieur.
14h54. Henri-Michel COMET le préfet de Toulouse va s’exprimer dans une vingtaine de minute lors d’une conférence de presse aux abords de la banque.
14h47. L’otage aurait réclamé à….manger et à boire. Drôle de terroriste d’Al Qaïda !
14h38. Un homme seul, schizophrène, et en rupture de traitement plutôt habitué aux hôpitaux…psychiatriques
14h35. Les otages auraient été libérés. D’après un témoignage sur place et prisent en charge au QG du GIPN. Mais, on parle plutôt d’une otage libérée.
Le preneur d’otages prétend s’appeler “Boumaza”
14h17. Le preneur d’otages prétend s’appeler “Boumaza”, selon deux sources policières qui précisent que cette identité leur a été donnée phonétiquement et qu’elle doit être confirmée.
14h10. “Ça recommence”. Maria Gonzalez, une mère de famille de deux enfants qui ne peut pas rentrer chez elle, rue de la Providence, près de la banque, ressent une impression de déjà-vu : “On revit la même chose qu’il y a trois mois. On était tranquille dans le quartier, mais depuis le problème Mohamed Merah, on est inquiet. Cela recommence, cela commence à me faire peur”.
14h09. Un homme d’une trentaine d’années. On ignore tout pour l’instant sur l’identité du forcené et ses motivations exactes. on sait juste qu’il serait âgé d’une trentaine d’années. “L’hypothèse la plus probable est que ce type est fou, ce qui ne le rend pas moins dangereux”, explique une source policière.
14 heures. Les démineurs sur place, le preneur d’otages avec des explosifs ? Le preneur d’otages de la banque CIC aurait déclaré aux forces de l’ordre détenir des explosifs. C’est pourquoi les démineurs de la sécurité publique se sont déployés autour de l’établissement.
13h52. Un contact téléphonique entre le preneur d’otages et la police. Les forces de l’ordre ont établi un contact téléphonique avec le forcené. Mais aucune négociation n’est pour l’instant entamée.
13h42. Une employée de la banque au téléphone. Une employée actuellement dans l’agence CIC a répondu au téléphone à l’AFP. S’exprimant d’un ton très calme, elle s’est refusée à faire tout commentaire sur la prise d’otages en cours. “Je réponds aux clients de la banque” a-t-elle simplement précisé.
13h40. Le GIPN prend position autour de la banque
13h37. “Un pied nickelé”. Robert Paturel, ancien membre du Raid, estime que le preneur d’otages est un “pied nickelé“. Selon lui, il s’agit d’un acte isolé, d’un braquage qui a mal tourné. “Ce qui s’est passé à Toulouse (notament l’affaire Merah, ndlr) a créé des vocations”, a-t-il déclaré sur BFMTV.
13h25. L’appartement situé au-dessus de la banque évacué.
13h22. Le GIPN est arrivé sur les lieux.
13h20. “Jamais un chèque sans provision”. ”J’étais venue spécialement ce matin pour aller à ma banque, qui est juste en face du CIC”, a indiqué une commerçante du quartier. “En 25 ans dans ce quartier tranquille, je n’ai jamais eu un chèque sans provision dans mon commerce”, a-t-elle expliqué.
13h03. Le GIPN est attendu pour 13h30. Il s’agirait du même groupe d’intervention que lors de la prise d’otage à Météo France.
12h59. Selon un journaliste, une intervention va avoir lieu et les journalistes sont invités à reculer.
12h34. Les premières photos des lieux sont diffusées sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter, notamment par les observateurs de France 24.
Des policiers quadrillent le quartier.
12h32. Les commerces alentours ont également été fermés.
12h30. Le lycée a été évacué. Des épreuves du BAC ont lieu cet après-midi au lycée du Caousou. Aucune précision quant à la tenue de l’examen.
12h20. L’école du Caousou évacuée. Les parents d’élèves du Caousou aurait reçu des textos leur demandant de venir chercher leurs enfants.
12h18. Les groupe d’intervention de la police nationale (GIPN) de Bordeaux et de Marseille sont en route vers Toulouse.
Il s’agit de la seconde prise d’otage à Toulouse en moins de deux semaines. Le 7 juin, un homme avait déjà fait un otage sur le site de météo France.
12h17. Le dialogue bientôt enclenché. Michel Valet, le procueur de la République a annoncé qu’”un dispositif est en train de se mettre en place pour engager le dialogue” avec l’individu.
12h15. Le Raid n’a pas encore été dépêché sur place.
12h06. Un refus de la banque. Le forcené aurait sorti son arme face au refus d’un employé de lui délivrer de l’argent liquide.
12h05. Pas de blessé pour l’instant dans la prise d’otages.
12h04. Le quartier est bouclé.
12 heures. L’école du Caousou a été fermée et les professeurs et leurs élèves sont maintenus à l’intérieur de l’établissement. Les bus ont quant à eux été détournés. L’école compte 663 élèves de maternelle et primaire, 789 collégiens, 531 lycéens et 44 élèves en BTS.
11h59. Il s’agirait d’un vol à main armé qui a mal tourné. Selon le secrétaire général du syndicat policier Unsa Midi-Pyrénées, Cédric Delage : “Il s’agirait d’un vol à main armée qui s’est transformé en prise d’otage”, a-t-il indiqué à France TV Info.
11h50. Les responsables de la police, le procureur de la République Michel Valet et l’adjoint municipal à la sécurité Jean-Pierre Havrin sont sur place. Les hommes de la BRI, groupe d’intervention de la policière judiciaire, et le SRPJ de Toulouse viennent d’arriver sur les lieux. Les élèves du Caousou quittent l’établissement scolaire par une issue située à l’arrière du bâtiment.
11h45. Un périmètre de sécurité a été déployé alors que l’école du Caousou se situe à proximité de la banque.
11h40. Quatre personnes sont actuellement prises en otage dans une banque de Toulouse.L’individu est armé et se réclame d’al-Qaïda. Il aurait selon la police tiré un coup de feu et demande à parler au Raid. Il retient entre autres le directeur de la banque dans une succursale du CIC avenue Camille Pujol dans le quartier de la Côte Pavée.
Cette prise d’otages intervient trois mois après l‘affaire Merah et le lieu choisi par le forcené se trouve à une centaine de mètres de l’appartement de l’islamiste abattu par le Raid.
Avec la Dépêche