
Le musée de Lodève aime à prêter ses cimaises aux tableaux de peintres ayant œuvré à l’orée du XXe siècle, lorsque naît l’art moderne. Aussi accueille-t-il cet été les toiles et dessins de l’artiste belge Théo Van Rysselberghe (1862-1926), méconnu en France et célébré dans son pays natal comme l’un des maîtres du néo-impressionnisme. Quelque quatre-vingts œuvres éclairent la façon dont il interpréta ce mouvement dans des compositions enjouées, baignées d’une lumière sans pareille et de couleurs éclatantes.
Articles
- Entretien avec Ivonne Papin-Drastik, directrice du musée de Lodève et commissaire de l’exposition
- Van Rysselberghe et son temps
- Van Rysselberghe ou la promesse du bonheur
- Le groupe des XX et la Libre Esthétique
- Arrêt sur une oeuvre : Portrait d'Alice Sèthe
- Saisir les nuances de la pensée
- Le néo-impressionnisme en Belgique
- Arrêt sur une oeuvre : Madame Théo Van Rysselberghe (dans une blouse à pois)
- Hymnes à la lumière
- Arrêt sur une oeuvre : L’Entrée du port de Roscoff
- Un « prétexte à lignes et gammes joyeuses »
- Arrêt sur une oeuvre : Le Ruban écarlate
- Art et poésie en harmonie


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