La légende des deux faucons

Publié le 03 juillet 2012 par Nuage1962

Comme ce faucon qui ne vole pas, nous sommes sommes souvent accroché a quelque chose qui nous empêche d’aller plus loin. Nous avons mit souvent des obstacles peut-être par craindre de perdre ce que nous avons déjà, peur de quitter notre confort, qu’on ne peut avoir mieux .. et de la nous formons nos limites, nos peurs et malgré nos rêves si cela nous ne tombe pas du ciel nous restons a attendre que le moment opportun ou bien nous laissons tomber si nous rencontrons quelques difficultés …  Il faudrait peut-être couper la branche qui tout comme ce faucon nous retiens
Nuage

La légende des deux faucons

 


 
Le roi d’un pays lointain reçut un jour comme offrande deux jeunes faucons qu’il remit sans tarder au fauconnier pour qu’il les dresse.

Au bout de quelques mois, le roi demanda au maître fauconnier des nouvelles concernant le dressage des deux précieux oiseaux.

Celui-ci l’informa qu’un des deux faucons répondait parfaitement au dressage, mais que l’autre n’avait pas bougé de la branche où il l’avait posé le premier jour.

Le roi fit venir des guérisseurs de toutes sortes pour qu’ils voient le faucon, mais personne n’arriva à faire voler l’oiseau. Il confia alors la mission aux membres de la cour, mais rien de plus ne se passa…

Désespéré, le roi décida de faire savoir à son peuple qu’il donnerait une juteuse récompense à la personne qui arriverait à faire voler le faucon. Et dès le lendemain matin, il vit le faucon en train de voler élégamment devant les fenêtres du palais.

Le roi dit à sa cour : « Amenez-moi l’auteur de ce miracle ! ». Et un modeste paysan se retrouva alors devant lui.

Le roi lui demanda : « C’est toi qui as fait voler le faucon ? Comment as-tu fait ? Est-ce que tu es magicien ?

Intimidé, le paysan dit au roi : « Ce n’est pas de la magie ni de la science, Majesté, j’ai juste coupé la branche et le faucon a volé. Il s’est rendu compte qu’il avait des ailes et il a commencé à voler. »

La légende raconte que depuis ce jour, le faucon vola librement et sans restriction aucune et le roi simplement prenait plaisir à le regarder…

Auteur inconnu