Mais, il y a pire. Alors que les Etats-Unis font semblant de vouloir régler le conflit, en secret, ils ont déjà dans leurs bagages, des hommes-liges et un….constitution, le président français joue les VRP des terroristes syriens. François Hollande, très impliqué dans ce conflit avec en toile de fond son apologie du terrorisme, a encore poussé le bouchon plus loin, en demandant aux terroristes de l’Armée syrienne libre (ASL) et au Conseil national syrien (CNS), de constituer un gouvernement. A mourir de rire si ce n’était pas aussi pathétique. C’est alors qu’un chef –il y en a tellement-, a déclaré, je cite :
« Cet infidèle de François Hollande est un ivrogne ou quoi ? Nicolas Sarkozy au moins, il n’allait pas nous demander de former un gouvernement mais allait envoyer des troupes pour liquider Assad et les alaouites. »
Tiens donc, éliminer Assad et les alaouites. Quel programme politique ! Le reste, finalement, n’est pas leur tasse de thé, du moment où Assad gît au troisième étage sous terre.
Il ne reste que quelques petites poches de résistances mai, selon nos sources, d’ici à mardi, la vermine sera terrassée. Assad a compris qu’il ne fallait pas transiger avec les terroristes. Au départ, il envoyait seulement des hommes de troupes. Maintenant, les chars et les hélicoptères agissent de concert. Normal, il n’y a pas d’autres formes de procès pour les exterminer. Si vous ne le faites pas, c’est vous qui passez. Il applique des mesures à l’américaine, liquider les terroristes, sans attendre un quelconque procès dans le style Ben Laden ou à la Poutine en Tchétchénie. Oui, ce n’est que de cette façon-là qu’on lutte contre les fous d’Allah. Assad a retenu la leçon et ça doit continuer.
François Hollande devrait s’occuper du retour tarabiscoté, chez Twitter, de Valérie Trierweiler, s’ils sont encore ensemble, puisqu’elle l’a félicité sur son discours de la commémoration du Vel d’Hiv. Ce serait plus utile pour la France que de s’occuper des Syriens, que dis-je, de Bachar Al-Assad, seul et vrai interlocuteur, quoi qu’on en dise. Hypocritement et malhonnêtement, réfuter cette idée, est le vrai problème syrien…
Sur le plan du front, les choses se compliquent vraiment pour Al Qaïda Syrie. Les Chancelleries occidentales n’en peuvent plus, l’Organisation syrienne autoproclamée des droits (OSDH) n’a plus de crédibilité, les grands médias se méfiant de plus en plus du gargotier londonien. C’est la gueule de bois et, tout le monde se rend compte que, avec Bachar ou sans Bachar, le pays a basculé définitivement dans la haine, à cause de l’unilatéralité des ocidentaux en faveur de la bête immonde Al Qaïda. C’est sans doute voulu. Honteux.