Syrie : Bachar Al-Assad va bientôt clôturer les Jeux Olympiques d’Alep

Les patates semblent être cuites. De là haut, Allah a-t-il abandonné ses fils salafistes ? Les adeptes de la profanation du nom d’Allah ont reçu un avertissement. Allah demande qu’ils cessent d’utiliser son nom à tort et à travers pour des buts inavoués. Les «Allah Akbar!», «Allah Akbar!», devenus des slogans creux ? Oui, si l’on en croit ces révélations reçues par un terroriste qui a fui le front: “Allah a dit de cesser d’abuser de lui et que, tout pouvoir vient de lui”. Et toc !

Quelques “vaillants” terroristes continuent dans leur trou à rat, de tirer, pour faire croire qu’ils sont encore nombreux dans des petites ruelles de Salaheddine (quartier d’Alep) où les forces gouvernementales syriennes sont entrain de les laminer. L’armée de Bachar Al-Assad qui est entrain de gagner la guerre voit les ennemis de la Syrie, dont le mollah aux mocassins JM Weston, Laurent Fabius, lancer des cris d’orfraie à tue-tête dans les médias.

Laurent Fabius, la caricature ambulante, agrégé ès hémophilie, docteur ès sang contaminé, ce milliardaire qui n’a rien à se reprocher, traite Bachar Al-Assad de “bourreau”. C’est visiblement le chant du cygne. On sent la fin et la rage qui s’explique dans leur attitude, dans leurs propos nauséabonds. La précipitation avec laquelle la France veut que le conseil de sécurité se réunisse sous prétexte d’un probable massacre n’est que l’arbre qui cache la forêt d’un accord tacite, entre les adeptes du «Allah Akbar!» et les Occidentaux, pour mieux profaner le nom d’Allah.

Pour le mollah Fabius :

“Puisque la France prend la présidence du Conseil de sécurité des Nations unies au 1er août, nous allons donc demander avant la fin de cette semaine la réunion du Conseil de sécurité, probablement au niveau ministériel à la fois pour essayer d’arrêter les massacres et pour préparer la transition politique”

Sans vergogne, ces gens soutiennent des salafistes mais, comme on le sait, alors que le Sahel s’embrase par la faute de Sarkozy, ils sont responsables mais jamais coupables. Mais, un jour viendra !