Dans ce camp, le champion toute catégorie est le soi-disant philosophe Bernard-Henri Botul Levy, un imposteur devant Dieu et les hommes. Sa dernière sortie est à l’image de ce qu’il est, un cuistre :
“Ce dont je suis sûr, c’est qu’il n’a pas fait ce qu’il avait promis le 29 mai sur France 2. Il parlait ce soir-là de ‘chasser’ Bachar al-Assad. Et il n’excluait pour cela aucun moyen, même militaire. Nous sommes loin du compte.”
Il est suivi par le ministre britannique des Affaires étrangères William Hague qui vante l’initiative ridicle, à l’ONU, de l’Arabie saoudite en ces termes:
“Cette résolution, présentée par l’Arabie saoudite et soutenue par la Ligue arabe, envoie un message clair que le monde se tient uni pour condamner les violations des droits de l’homme systématiques du régime syrien et pour demander des comptes”
Le clan des assassins.
On aurait pu commencer par l’opération ridicule saoudienne à l‘Assemblée générale de l’ONU. Un texte adopté hier mais qui est sans effet. Une énième tentative de poursuivre son oeuvre macabre d’assassinat des Syriens. Ce machin, présenté par l’Arabie saoudite au nom du groupe arabe, dénonce le pilonnage des villes rebelles par l’armée syrienne et critique l’impuissance du Conseil de sécurité à agir pour faire cesser le conflit en Syrie. On croit rêver.
Bref, dans cette condamnation, l’Arabie saoudite, explicitement, demande aux terroristes qu’elles finance, entraîne et arme, de poursuivre leurs basses besognes, sans que la force légitime ne puisse agir. Une sécession de facto de la Syrie est ainsi demandée, avec l’aval des ennemis de la Syrie. C’est énorme. Bien sûr, personne ne condamne les actes atroces de la fameuse Armée syrienne libre (ASL). Ces gens sont vraiment tombés sur la tête avec cette partialité criarde.
La horde de poltrons.
Il sont tous dans les médias “mainstream”. Ce sont des racistes, des pleutres et surtout des êtres méchants dont la couardise est à son maximum. Ils n’aiment personne et la vie se résume à leur petit confort à Paris, Washington ou Londres. A partir du moment où, de leur salon feutré, ils vivent bien en observant le monde qui se meurt, peu importe la souffrance des Syrens. Et, de la malhonnêteté intellectuelle de nos dirigeants, ils n’en ont cure.
Sachant qu’à Alep ça se passe mal pour les terroristes, leus protégés, qui multiplient des actes répréhansibles, ils choississent de montrer une manifestation dans une ruelle de la ville tenue par les mercenaires de l’OTAN (qu’ils couvrent), qui regroupait un centaine de personnes anti-Assad. Pouvez-vos donner le nom d’un seul homme au monde qui fait l’unanimité ? Quand on est incapable de dire la vérité sur le dossier syrien, mieux vaut se suicider.