Un autre protagoniste fait également son entrée, Michel Gras. Que lui reproche t-on ? Je ne sais pas trop. Ce qui est sur, c’est qu’il est le président de la fondation Charles Trenet. Apparemment, il a voulu faire un musée à la mémoire du chanteur, ce qui est en soit une bonne initiative. Les points de vue sont trop divergents. Les procès sont tantôt gagnés par les uns, tantôt perdus par les autres. La vérité est difficile à établir. Tout est assez terne. Ce remue ménage empêche Charles Trenet de reposer en paix.
Laissez le tranquille. Il n’aurait pas aimé qu’il y ait tant d’agitation sur son œuvre.