Ce Julien-là, il aussi clair que l'autre, celui qui dit aux femmes qu'il les aime. Je sais c'est un peu facile comme jeu de mot.
Ce Julien-là on lui cherche des poux dans la tête et dans le slip. L'administration étasunienne voudrait le voir "six feet under", ça par contre c'est clair aussi. Il est craint et haï. Il a choisi une vie de ouf complet hyper barjot !!! Qui voudrait se lancer dans son aventure ?
Ses frasques suédoises : Conneries dignes d'un neuneu irresponsable et irrespectueux ? Piègeage ? Tout le monde sait pourtant que l'accusation de viol ne tient absolument pas. Rapports sexuels librements consentis entre adultes consentants non bourrés et non schootés, rapports sexuels connement non protégés, voilà la vérité. Les deux nanas ne s'en étaient pas remises d'avoir réussi à fourguer dans leur pieu l'homme (l'un) le plus influent de la planète.
Remarque, lui, le Julien, pas futé, pas futé du tout, mais clair. Il se savait clair sur un plan sexuel mais il est tombé dans le panneau. Résultat il est comme un gland en ce moment coincé à l'ambassade de l'Equateur.
J'arrête avec ça, j'espère que son avocat (béni soit son nom), l'IMMENSE Balthasar Garzon va le tirer de ce mauvais pétrin car enfin Julien, c'est libre et agissant qu'il doit être.
C'est un des hommes les plus utile au monde. Wikileaks fait oeuvre de salut public !!!
Voilà ce que je voulais dire cette après-midi. Johnny beuglait qu'on a tous en nous un peu de Tennessee. Je voudrais pouvoir dire, pouvoir avoir le courage de dire qu'on a tous en nous un peu de Julien Assange. Il est soutenu par Michaël Moore, par Ken Loach, par plein d'autres. Il doit recouvrer sa liberté et pouvoir exercer librement son métier le plus tôt possible. C'est de liberté d'expression qu'il s'agit. C'est de démocratie qu'il s'agit avant tout.