D'abord, un de mes amis m'a dit qu'il escaladait lui-aussi, chaque été, le Mont Buet, entre Samoëns et Chamonix ; ensuite je voulais me remettre un peu à la randonnée alpine et enfin j'ai pensé que serait formidable de faire découvrir cette ascension à ma propre fille.
C'était aussi la première fois que je faisais cette ascension si tard dans la saison et avec si peu de neige, notre hiver ayant été particulièrement peu enneigé, ce qui rendit notre progression beaucoup plus difficile à travers des champs de grosses pierres et d’énormes rochers.
Le résultat qui compte est que nous sommes arrivés au sommet une fois de plus et qu'après plus de six heures de marche bien difficile, nous étions sur les genoux mais très heureux!