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Chronique d’une misogynie quotidienne

Publié le 01 août 2012 par Blended @blendedph

Sofie Peeters est une étudiante flamande qui a voulu partager son quotidien pour son film de fin d’études. Avec des dialogues aussi affligeants que «Je t’emmène à l’hôtel», «si tu donnes envie, c’est normal, non?», «belles petites fe-fesses», «salope», «chienne», des personnages sans charisme et un scénario redondant.
Tout pour faire un mauvais film donc, sauf que Femmes de la rue est une histoire vraie. Celle de milliers de femmes occidentales.
Le film relayé dans de nombreux médias, va aujourd’hui débuter une carrière dans les festivals. De quoi alimenter le débat.
Problème : Sofie Peeters vit dans un quartier pauvre et avec une forte population maghrébine. Et puisque l’homme n’aime abandonner une agression que pour en épouser une autre, il y a fort à parier que l’on passe de la misogynie au racisme.

Chronique d’une misogynie quotidienne

Chronique d’une misogynie quotidienne


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