C’était simple

Nous étions plus libéré et à l’aise, coquins souvent et sans peur, nous réagissons, écrivons, partageons des photos, dessins, esquisses, des citations, des extraits, des poèmes ou des bribes… Nous étions plus heureux, nos remarques, réactions, commentaires étaient plus directs ou pleins de clins d’oeils, qu’importe, nous apprécions ce que nous faisons…S’il est donné de continuer la série de « nous étions… », Elle s’allongera, et ajoutera au décor plein de sinistrose déjà en place de quoi rappeler une certaine littérature de jeunesse, jugeait plus noire que noire, pleine de « nausée »… D’un extrait qui vient à l’esprit, l’arbre objet de l’observation et la racine inerte dans son apparence « masse noire et noueuse entièrement brute », qui faisait « peur » au point de faire ressurgir ce que voulait dire « exister ». Et ceci ramène à un autre objet, sujet honteux par ces temps, celui d’une certaine multiplication libidineuse qui fait baver, la polygamie, et encore une « masse noire… », enfermée dans sa burqa, pas si inerte, mais qui fait peur au point de faire ressurgir non pas ce que voulait dire « exister », mais pourquoi une telle « révolution » !