Il y a un mois, je vous parlais de ma découverte de François Damiens dans une interview précédant la sortie La délicatesse, qui m’avait fait changer mes aprioris sur lui.
J’ai donc vu vu vu vu la délicatesse. Nan, je bégaie pas, je l’ai vu vu vu vu.
Vu au cinéma.
Vu sur ma TV.
Vu sur ma TV.
Vu sur ma TV.
Ouais, quand j’aime, je tombe dans la démesure folle, je sais, et chuis cap de regarder six fois de suite le même film…
J’aime La délicatesse.
J’aime le titre de ce film, qui veut dire tant de chose.
J’aime le choix d’Audrey Tautou, qui rime totalement avec délicatesse. Son corps est délicat, son regard l’est, sa voix, sa façon de jouer le rôle de Nathalie.
J’aime le choix de François Damiens, en apparence bourru et sinistre, dont la délicatesse émerge petit à petit pour faire que ce film soit une réussite.
J’aime tout dans ce film, c’est ainsi et j’ai déjà mes scènes cultes, sa main qui passe sur son visage, le baiser, et sa petite voix qui dit « maintenant je sais ce que je fais », ou cette nuit qu’ils passent ensemble, chacun sur son fauteuil, ça c’est la délicatesse à l’état pur, de celle qui ne peut laisser indifférent.
Voilà, j’ai vu vu vu vu la délicatesse.
Et je prévois de le voir encore.