éditions JC Lattès, août 2012, 220 pages, 17 euros
lu pour les Chroniques de la rentrée littéraire
Malgré toute l’indulgence que
je voulais mettre dans la chronique d’un premier roman. Malgré le
respect que j’ai toujours pour le travail d’un (ou une)
primo-écrivant. Malgré (ou à cause de) certaine reconnaissance des
efforts produits pour (me) plaire.
A tel point que j’ai voulu en
avoir le cœur net, lire
quelques avis de chroniqueurs amateurs, comme moi - ce
qu’habituellement je ne fais jamais avant d’avoir remis ma copie.
Juste deux, trois, pour voir. Bizarrement on y parlait de roman à
croquer, de petite faim, de folie douce, d’eau à la bouche.
Ça
m’a étonnée comme si on n’avait pas lu le même livre (pourtant
si) ; mais ça m’a rassurée aussi : même si je suis un peu
méchante ici avec Brioche, les internautes trouveront aussi
des critiques laudatives et plus positives que la mienne.