« Suivant le chemin éclairé par la lumière irréelle de la lune, je m’enfonçais dans le bois où je marchai sans but. Dans cette lueur étrange, les sons résonnaient curieusement. Le bruis de mes pas retentissait comme provenant d’ailleurs. De temps à autres, un petit bruit se claquait derrière moi. Dans le bois régnait une atmosphère étouffante, faite du souffle réprimé des animaux nocturnes qui attendaient que je fusse passé. » La ballade de l’impossible de Haruki Murakami p179.
J’aime la dernière phrase...