"Au clair de la lune, près de la mer, dans les endroits isolés de la campagne, l'on voit, plongé dans d'amères réflexions, toutes les choses revêtir des formes jaunes, indécises, fantastiques. [...] Depuis ce temps, je respecte le voeu de la morte. Moi, comme les chiens, j'éprouve le besoin de l'infini..."
Lautréamont, Les chants de Maldoror, chant 1er, strophe 8 (Gallimard 2009, Pleïade)