Ne tiens pas pour bienveillants des propos qui causent
en toi de l'amertume et de l'aversion pour ton frère, même s'ils semblent
vrais. Évite-les comme des serpents mortels, afin de détourner les autres de la
médisance et de libérer ton âme de la méchanceté. Maxime le Confesseur : Quatrième
centurie