de la charité 4-XXXI

Publié le 28 mars 2008 par Moinillon
Ne tiens pas pour bienveillants des propos qui causent en toi de l'amertume et de l'aversion pour ton frère, même s'ils semblent vrais. Évite-les comme des serpents mortels, afin de détourner les autres de la médisance et de libérer ton âme de la méchanceté.
Maxime le Confesseur : Quatrième centurie