Théonie la bijoutière en chef des ateliers artheniciens de la ville rose, inspirée (ben voyons) par l'aspect sulfureux de cette histoire a remis au goût du jour les fameux "colliers-cuillères" , mais que les choses soient bien claires, elle chine les petites cuillères, elle ne les vole pas...:-)
Les petits délires arthéniciens
Publié le 29 septembre 2012 par Arthenice
"On raconte qu'au XVIIIème siècle une bijoutière toulousaine rusée dérobait au moment du dessert, les petites cuillères en argent lors de soirées décadentes organisées dans les demeures des riches marchands de pastel...Ensuite elle les transformait en superbes colliers et sautoirs que les épouses oisives et fortunées des fameux marchands, s'arrachèrent dans son échoppe, sans se douter une seule seconde de la provenance des matières premières...A l'époque l'histoire fit grand bruit quand elle fût révélée au grand jour par une cliente qui avait fini par reconnaître l'une des petites cuillères disparues de son service! La bijoutière passa quelques temps entre les murs sordides de la terrible prison St Michel"
Théonie la bijoutière en chef des ateliers artheniciens de la ville rose, inspirée (ben voyons) par l'aspect sulfureux de cette histoire a remis au goût du jour les fameux "colliers-cuillères" , mais que les choses soient bien claires, elle chine les petites cuillères, elle ne les vole pas...:-)
Mesdames, si vous craquez pour cet objet rétro-gothico-toulousain vous pouvez toujours tenter de l'acquérir dans l'échoppe en ligne d'Arthenice, enfin...si vous êtes assez rapide...
Théonie la bijoutière en chef des ateliers artheniciens de la ville rose, inspirée (ben voyons) par l'aspect sulfureux de cette histoire a remis au goût du jour les fameux "colliers-cuillères" , mais que les choses soient bien claires, elle chine les petites cuillères, elle ne les vole pas...:-)