Pas de quoi en faire un plat…

Ah, mes chers amis lecteurs…

Voilà, ça y est… Une de plus. on est bon, tout va bien, ne poussez pas, il y en aura pour tout le monde. J’ai fini un joli petit projet qui me trottait dans la tête depuis longtemps. Bien sûr, vous connaissez ma série “Myself”. Ce n’est pas une question, c’est volontiers une affirmation. Peut-être même un ordre déguisé. Toujours est-il que si certains d’entre vous ouvrent la bouche comme un cul de poule en murmurant : -” Désolé, les gars, mais moi, je ne connais pas…”, ceux-là peuvent prendre la porte et sortir.

Mais comme je suis d’humeur gentille, allez, je suis un peu foufou, je vous donne le chemin. Vous pouvez retrouver l’intégrale de la série chez mes amis du tout nouveau tout beau site de Darqroom ici. Ou alors, ici, sur le gargantuesque Facebook.

Voilà une nouvelle photo qui va enrichir la série. Et cette fois, je commence à me laisser aller.

Je me suis ECLATE à fabriquer ce délire. A l’origine, le plat de spaghettis devait être plein et fumant. En effet, pour tout vous expliquer, cette photo est une maquette pour un projet de décoration d’un restaurant parisien. Or, pour convaincre le client – d’origine italienne – quoi de mieux qu’un beau dessin ? Donc, une maquette ? Donc, cette photo.
Donc, disais-je, le plat de pâtes devait être rempli à ras bord. oui, mais voilà, le hic, c’est que j’ai dîné avec des amis dont les enfants sont souvent affamés. Il m’a fallu improviser avec le peu de spaghettis restant. C’est Eric qui me suggère de me déshabiller quand je prends la pose du centre. C’est Cathy qui fait la prise de vues.

C’est sur la post-production que me vient cette idée de me rajouter des tatouages religieux.

Je me suis éclaté, vous dis-je. Tellement qu’il me vient plein d’idées dont une qu’il faut que je note absolument tout de suite. Je vous laisse. Vous ne le savez peut-être pas, mais à 50 piges, la mémoire devient une écumoire. La créativité, par contre, tout va bien.

I love you. All of you. And Lulu.