Est-ce que c'est le fait qu'il soit canadien qui lui permet de faire sonner le français ainsi ?
De lui donner cette douceur pop, faite de sa voix bien sûr mais aussi de synthétiseurs bien placés... Mon obsession pour l'héritage sous-estimé trop longtemps des années 80 s'envole et aboutit au courage de ce saxophone.
Je dirai que c'est réussi.
à écouter en entier chez Said the Gramophone, jusqu'à l'envol évoqué, en lisant les mots de Sean en prime
[et après découverte, je tenterai de faire abstraction de la tête de Tommy Gnosis qu'il a]