de la charité 4-XXXII

Publié le 29 mars 2008 par Moinillon
Ne blesse jamais ton frère par des paroles ambiguës, de peur qu'il ne te réponde du tac au tac, et que vous ne sortiez tous deux de la disposition de charité. Mais, avec la franchise de l’amour, va, reprends-le : et, supprimées les causes du malaise, vous serez délivrés tous deux du trouble et de l'amertume.
Maxime le Confesseur : Quatrième centurie