Une expression que comme vous imaginez c’est quelqu’un qui fume vraiment beaucoup mais l’origine viens de l’image qu’avait les pompiers avant les tenu de travails plus sécuritaire
Nuage
Fumer comme un pompier
Fumer (du tabac) beaucoup.
Les pompiers fument-ils plus que le commun des mortels ? Les statistiques là-dessus sont formelles[1] : ce n’est pas le cas ! Ou alors, ils le font en cachette dans des endroits où personne ne peut aller à leur place.
Peut-être qu’ils réfléchissent tellement lorsqu’ils sont confrontés à un incident ou un incendie quelconque, qu’ils en ont « les oreilles qui fument » ?
A moins qu’il leur arrive, lorsqu’ils se frottent d’un peu trop près aux flammes, d’avoir quelques éléments de leurs vêtements qui commencent à s’enflammer et à dégager de la fumée ?
Vous ne croyez pas si bien lire ! Cette dernière élucubration n’est pas loin de la réalité.
L’origine de l’expression remonte en fait à une époque où les vêtements ignifuges n’existaient pas et où nos valeureux soldats du feu, vêtus de simple coton ou de laine, se faisaient copieusement arroser d’eau avant d’entrer dans un endroit enflammé.
Une fois dans l’enfer, cette eau portée à haute température se transformait en vapeur. Et lorsqu’ils ressortaient, une grande quantité de fumée du lieu et de vapeur d’eau s’échappait de leur tenue.
L’image de ces pompiers qui fumaient a ensuite été transposée à ces fumeurs invétérés, toujours entourés de leur nuage toxique à la fois pour eux, ce qui est leur problème, mais aussi pour leur entourage, ce qui devient un problème de santé publique.
[1] Et on peut certainement s’y fier, même si, selon de récentes statistiques, 90% des statistiques sont fausses ; ce ne sont après tout que des comptes de faits.