Les fascistes et les cons ne mourront heureusement pas - on s'ennuierait - mais les mots sont lâchés. Là : mots sur notes. Semblent minus les mots, dérisoires : bouchons de liège sur océan en furie... Mais un mot est un mot, il reste. Il coule jamais. Même s'il y a des tas de fascistes et des tas de cons. Ce pays est mon pays, ce pays est ton pays, il est fait pour toi et moi. Des cons, des presque fascistes par la teneur de leurs propos, ont dit qu'un pays ne peut pas accueillir toute la misère du monde. Z'ont rien compris ces cons presque fascistes. Un pays doit accueillir toutes les vies, tous les espoirs du monde.