La traversée du temps, comme les yeux sur le tapis brodé de Sindbad. Sur le tapis de nos arts. Comme les yeux posés sur un nénuphar (célèbre ou pas!). Lui même entre deux transparences!
Nous y sommes tous.
Dedans.
Avec la peinture. Dedans la peinture. Nos mains dans le motif.
Puis un jour disparaissent les sujets de la nature. Ne restent que notre présence à la lumière et quelques traces dans celle-ci. Avec elle.
Alain Gegout s'avance maintenant dans la peinture avec elle. Il accepte aujourd'hui de se donner à elle. Avec plus de nudité ! Le monde se rejoue sur la toile.
Ophelia, Sherazade. La dame de Pertuis
Celle de la rose et du miroir. Peu importe le pretexte. La pré-peinture ! à chacun son désir de toujours. De demain. De
plus loin ! L'acte qui laisse à la surface de ce couché terreste, quelques mouvements fantômes.... un drapé de souvenirs........ une gorge haletante....... La présence des gorges est centrale
dans les toiles de Gegout ! Gorges humaines ou pas ! pour un couché de chair à l'horizon du geste. Une simple de touche de peinture.
Ce texte signé par Joël Bastard, je vous le livre. A l'époque de ce texte Flo n'existait pas encore, elle se nommait Ophelia..
son blog ici
l'atelier en ce 2 novembre 2012