Salut!! J'i trvaillé toute une nuit, de 2h du matin à maintenant 7h15 (je suis pas insomnique...mais je suis trééés fatiguée!) pour faire cet OS que je toruve assez long.(10 page) bref ce n'est pas un OS avec une trame super, donc ne vous attendez pas à une histoire entre deux personnage déchiré...on ça n'a rien à voir, c'est censé être euh...drôle?(enfin ça dépend votre humour vu que je sais que mes talent d'humoriste sont limité) et léger( je sais pas vraiment ce que ça veut dire mais je le met quand même XD)
Sinon certains feront peut-êtrela gueule en se demandant pourquoi j'ai pas fais la suitede mes histoire, simplement car j'ai aps encore prévut toute la suite d'Anghell et de SV et surtout le meilleur raison et que je veux pas vous donner la réponse tout de suite, veux un peu vous laisser mariner...ahaha (sadique héhéhé)donc vais quand même essayer de mettre une suite mais je sais pas si j'aurais le temps donc soyez patient! car après je pars en vacances donc...bref sur ceux bonne lecture!
Le temps d'une danse.
Le rideau se leva et Jude entra en piste. La musique démarra laissant son corps s'exprimer au file des notes. Ses bras exécutaient de gracieux mouvement dans les airs tandis qu'il bougeait son corps dans une danse délicieux et continua jusqu'a n'en plus pouvoir. Il salua sous les applaudissement du public en transe. Les vestiaires n'étaient pas loin et il courut se mettre le visage sous l'eau. Il releva la tête après l'avoir plongée dans le lavabo, des gouttes coulaient sur son visage et les pointes de ses cheveux gouttaient et se collaient a ses joues. Il s'appuya sur le lavabo et se redressa plongeant son regard d'or dans la glace. Quand il était petit ses cheveux était blond cendrés et brillait tel le blés au soleil, mais au fil du temps ceux-ci s'étaient assombris jusqu'a devenir brun fonce. Ça ne lui déplaisait pas, au contraire, cela lui permettait de ne plus ressembler a l'enfant qu'il était, pour dire vrai il trouvait les gens blond détestable. Depuis que sa mère était parti avec un homme plus jeune et plus riche qu'elle le laissant lui et son père seul a la maison, son dégoût pour les blonds avait empiré. D'ailleurs, son père n'était pas là ce soir, il avait beau chercher, regarder siège par siège, il n'avait pas vu ses yeux bleus le regarder.
*****
Le train était bondé et l'odeur devenait de plus en plus insupportable. Chris se tenait appuyer... ou plutôt écrasé contre la vitre, les cheveux colles contre son front avec la sueur. Il essaya de bouger désespérément son bras coince entre les ressort d'un siège et les fesses d'une grosse dame. Exténuer par ses essais rater, il releva la tête et soupira. Il ne mit pas longtemps a comprendre que ce qu'il venait de faire était une très mauvaise idée: devant lui se tenait la plus grosse aisselle en sueur qu'il n'avait jamais vu, il tourna le tête a droite espérant chasser cette image plus qu'horrifique, mais ce qu'il vit ne le rassura pas pour autant, deux autres aisselle étaient postée a ses deux extrémités.... il était piégé
Le wagon arriva enfin dans une grande ville ou la moitie des passagers descendit ainsi que les trois être transpirant qui étaient a ses cotes. Deux stations plus tard tous les passager avaient désertés le train, seuls quelques personnes restaient ainsi que lui. Il prit un siège et s'affala dessus. Sa journée avait été épuisante et il ne sentait presque plus ses jambes engourdies d'avoir dut se tenir debout pendant trois quart d'heures. Il avait encore les cris des ambulances dans les oreilles et les plaintes des patients se répétaient sans cesse dans sa tête l'empêchant parfois même, de dormir. Il sortit alors un journal de sa valise qu'il se mit a lire pour passer le temps. Il n'en était qu'à la première page quand il fut interrompu:
- Pardon, est-ce que peux m'asseoir?
Chris leva les yeux et aperçut deux yeux dores le regarder.
- euh, bien sur, répondit Chris en poussant son sac.
Il regarda son nouveau "voisin" s'asseoir et s'accouder a la fenêtre. Il reprit son journal et continua a lire son article. Soudain il eut l'irrésistible envie de revoir le jeune homme et leva son regard pour le poser sur l'homme aux yeux d'or. Assez jeune, il ne devait sans doute pas dépasser 25 ans, ses cheveux étaient brun et s'acco0rdait très bien a ses yeux d'un dorés intense. Ses jambes venait s'échouer contre le siège opposé et Chris fut le premier captivé par ses longues jambes fines. Ce fut à partir de ce jour que son regard le captura.
*****
Chris regarda sa secrétaire apporter une énième pile de paperasse sur le rebord de son bureau déjà assez encombré. le temps avait beau passé, le nombres de papiers à remplir étaient toujours le même et cela n'en finissaient pas. Il avait déjà passer la moitié de ma journée en réunion et finissait la deuxième à son bureau. Il lui arrivait de se poser la question "pourquoi je fais ce boulot", quand il y repensait il ressentait comme un étrange malaise, se lancer dans une carrière et se poser une question comme celle-là au bout de 2 ans de bon et loyaux service dans l'hôpital. Soudain le téléphone sonna et il se vit obligé de partir en salle d'opération.
Lui et les autres docteurs présents passèrent une heure en salle d'urgence, pour au bout du compte finir avec une opération ratée et un mort. Sa journée était décidément magnifique! Il pris sa sacoche et franchit les portes électrique de l'hôpital avant de prendre la direction de la gare. Par miracle, il restait une place assise près de la fenêtre. Souvent un bon nombres de personne restaient debout, ne trouvant soi-disant pas de place, alors que la réalité était tout autres. De nombreux sièges vides étaient disponibles, au milieu de deux personnes, qui, en préférant ne pas être en liaison direct avec une autre personnes inconnu du train, avait laissé une place entre elles. Le comportements des gens de nos jours étaient vraiment incompréhensible, certains préféraient restés debout, accrochés à une simple barre de fer, entre deux aisselles que de s'asseoir sur un siège à l'abris des bousculades. Chris s'excusa à maintes reprises et passa dans le couloir principale pur atteindre un des ses fameux sièges resté inoccupé entre deux femmes brunes. Il demanda si il était libre et prit place à coté d'elles, remarquant le regard meurtrier de la bonne femme se tenant à sa gauche, près de la fenêtre, les écouteurs dans les oreilles. Ne trouvant rien à faire, il pensa à ce qu'il allait bien pouvoir manger en rentrant. Étant seul, il n'avait personne qui l'attendait à la maison en lui ayant préparer un bon repas. Il n'avait encore eut jamais de vrai relation sérieuse avec une femme.
Tantôt elle était trop superficielle, tantôt trop collante, il n'arrivait décidément pas à se trouver quelqu'un qui lui convenait. Peut-être suis-je trop exigeant? se demanda-t-il en repensant à ces nombreux échecs passés. Sa vie était plus qu'ordinaire, jeune médecin de 30 ans, il venait d'entamer sa carrière depuis bientôt deux ans, il était beau, sportif mais devenu peu à peu inactif à cause de son manque de temps pour s'occuper de lui. Quand on lui avait dit qu'il fallait beaucoup travailler et qu'il pouvait faire une croix sur ses passes temps, il n'aurait jamais cru en arriver à l'arrêt de toutes ses activités physiques. Il venait de quitté sa dernière copine, ou plutôt maîtresse il y a 2 mois et autant dire que sa situation et son manque de temps pour une relation stable lui faisait faire des choses plutôt honteuse pour passer ses moment d'envies.
Il était pourtant loin d'être moche, ses cheveux ébouriffés comme les mannequins de la télévision et lui donnait un air de jeunesse éternelle, il ne les rasaient pas mais ne les laissaient pas pousser jusqu'à ses oreilles non plus; Il était à la grandeur moyenne mais ne pouvait pas se vanter d'avoir été l'un des plus grand de sa classe avec son petit mètre 75. Ses yeux bruns étaient d'un banal sans pareille ce qui lui posait un problème lors de ses quelques dîner; Il lui était arrivé de voir des films romantiques où les héros se regardaient dans les yeux, se trouvant chacun des yeux magnifiques et se faisant tous les effets d'excitation du monde: ceci était loin d'être son cas, pas une once d'effet n'avait été détecté dans les yeux de ses partenaires, et aussitôt avait-il lever son regard vers elles, qu'elles le regardait sans broncher, comme des poissons morts, avant de détourner le regard comme si ces quelques seconde yeux dans les yeux avaient été d'un ennui mortel. Depuis que sa dernière saint valentin s'était déroulée ainsi, il n'osait plus inviter qui que ce soit manger ou boire un verre. Il en avait certes eut 100 fois l'occasion, et même si ces filles s'ennuyait le résultat aurait été le même, il les aurait ramener et sauter, mais la nature avait fait que cet homme ne cherchait pas d'histoire d'un soir, préférant s'économiser pour une plus longue histoire d'amour. Ringard?...oui certains n'en pensaient pas moins et n'hésitait pas à le charrier sans se retenir, et Chris le savait. Il acceptait les critiques et en rigolaient mais au fond cela lui faisait mal de savoir que aucune personne qu'il connaissait ne pensait la même chose que lui,et que s'il continuait comme ça, comme disaient ses amis, il atteindra ses 65 ans: seul, médecin à la retraite, sans famille. Rien que cette pensé le fit frémir et cela ne passa pas inaperçu de ses deux voisines qui se retournèrent en le fusillant sur place.
"Des fois je me dis que les filles sont vraiment pas faîtes pour moi...". Cette hypothèse, cela faisait bien 1 mois qu'il se la posait, ceci aurait bien expliquer un bon nombres de ses problèmes, son manque d'excitation envers certaines de ses partenaires, son nombre d'histoires ratées, et enfin son indicible attirance pour ce garçon qu'il croisait tous les jours dans le train quand il n'était pas de garde. D'ailleurs à peine l'eut-il mentionner, que celui-ci fit son apparition dans le wagon. Chris ne put s'empêcher de le suivre du regard, observant ses moindres gestes. Il le vit notamment grimacer de dégoût en passant près d'un homme simplement vêtu d'un débardeur, mais qui pourtant, laissait échapper deux fois plus de transpiration qu'une personne normalement constituée. L'homme se poussa pour le laisser passer dans un grognement et le jeune inconnu put marcher, où plutôt boiter jusqu'à un siège vacant. Effectivement mon attention avait été attiré par ses difficulté à se déplacer, il s'était appuyé lourdement sur les sièges des passagers pour avancer. Je le vis s'asseoir et crisper son beau visage avant de se pencher pour se masser la cheville. Décidément rien n'allait aujourd'hui... ou pas.
Chris attendit que le wagon se vide un peu avant de se déplacer sur le siège en fasse de lui quand la grand-mère qui lui servait de voisine avait enfin décidé de sortir. Ils n'étaient plus que quelques uns dans le compartiment qui sentait à la fois l'eau de Cologne défraîchie ainsi que la sueur encore chaude des anciens occupants. Il se débrouilla pour cacher son mécontentement ne voulant pas passer pour une concierge râleuse auprès de son cher inconnu et commença à entamer la discussion quand il fut sûr que l'autre l'avait remarqué et avait levé les yeux vers lui.
- Euh, bonsoir, je m'appelle Chris et vous?
- Jude... Si vous voulez de l'argent j'en ai pas, et pareille pour les tickets resto.
La conversation débutait plutôt mal conscient que Jude le prenait pour un mendiant.
- Non non... c'est pas du tout ça.
- Alors qu'est-ce qui vous prend de venir me parler?
- Euh c'est juste que ça fait 1 mois que je vous vois dans le train et je me disais ce serait peut-être mieux de pas faire le trajet seul... enfin après si je vous dérange je vous laisserai tranquille.
- Ah... Je croyais que vous étiez un de ses pervers qui attendaient que je sortent pour me suivre et... enfin vous voyez..., lança Jude en souriant enfin.
- Euh aucun soucis de toute façon on ne descend pas au même arrêt!
- Ah parce que tu m'a déjà espionner? dit-il avec un air faussement outré.
- Nooon! s'exclama Chris de peur que son voisin ne se fasse de fausses idées.
- Bah t'inquiète pas je rigolais! Alors sinon comment tu t’appelles?
- Chris, euh... je vais bientôt descendre, donc je voulais juste vous dire que pour votre cheville il faudrait mieux que vous passiez à l’hôpital. Tenez voici ma carte, vous pouvez passer quand vous voulez, demandez moi, je verrez ce que je peux faire. Au revoir.
- Ah bah merci! salut! répondit Jude en prenant la carte que lui tendait son interlocuteur.
Chris était descendu une station plus tôt que prévu. Ce n’était pas dans ses habitudes de paniquer devant quelqu’un, il maîtrisait les pires des situations avec certains patients colérique, mais cette fois-ci il n’avait pas put continuer à lui parler. Des réactions qu’il n’avait jamais eut auparavant c’étaient produites: il n’arrivait plus à s’arrêter de rougir, quand il avait vu Jude sourire ce fut comme une révélation, l’admiration, puis la gêne... il se sentait tellement con, et puis enfin il y avait... ça, pensa-t-il en regardant la bosse qui commençait à se former dans son pantalon. Il fit attention à ce que personne ne se trouve autour de lui pour le voir dans ce piteux état et alla s’asseoir sur l’un des siège pour attendre le prochain train, couvrant le haut de son pantalon avec son manteau.
Une fois arrivé après de nombreuse minutes de retard, Chris tomba sur son lit peu après avoir posé son cartable et retiré sa cravate et ses chaussures. Soudain l’image de Jude lui revint en mémoire remettant son organe masculin en marche. De toute façon je suis chez moi, alors autant en profiter. Il commença à faire descendre sa main droite vers sa fermeture éclair et la fit descendre doucement tout en se caressant. Une fois bien excité, et le caleçon devenu trop serré, il l’ôta et prit en main son sexe déjà dur. Il commença de lent va et viens, qui firent effets sans tardé, lui arrachant de petits gémissements. Il commençait à sentir une chaleur intense s’emparer de lui et accéléra la cadence avec sa main. Il ne lui suffit que de l’image des jambes longues et fines de Jude pour finir ce qu’il était en train de faire et laissa jaillir sa semence. Il relâcha sa main et la posa sur le côté afin de calmer sa respiration devenue courte et saccadée ainsi que son excitation qui avait rarement été aussi forte. Il attendit encore 5 minutes avant de se lever décidé à prendre une douche. Il revint un peu plus tard et s’approcha du lit près à s’allonger pour une longue nuit bien méritée mais un élément imprévue attira son attention. Fais chier faut que je change les draps! pesta-t-il avant d’enlever les draps souillés.
C’est vraiment une journée de merde...
*****
Jude demanda à son prof de le laisser partir plutôt afin d’aller à l’hôpital. L’invitation de l’homme dans le train n’était finalement pas une mauvaise idée et il avait décidé de s’y rendre afin de se soigné de cette foutue cheville qu’il empêchait de danser depuis près d’une semaine. Il devait donc apprendre les chorégraphies en regardant les autres sans pouvoir s’entraîner, et le spectacle était dans un mois. Si ça ce n’était pas de la malchance! Sans voiture il était coincé et était encore obligé de prendre le métro et le train. De toute façon, se disait-il, avec une voiture ou pas, je ne pourrai pas me déplacer dans Paris. Il quitta la capitale et pris le train jusqu‘à Évry. Ce n’était pas sur sa ligne et il lui fallut faire quelques changements. Il espérait simplement que le détour en valait la peine et que l’attente pour se faire soigner une malheureuse cheville n’allai pas être trop longue. Comme il l’avait prévu, malheureusement, une longue file de personnes était déjà assise. Il soupira et alla voir la secrétaire afin de noter sa présence.
- Mr Jude SizeMore vous dîtes? Attendez voir, je crois avoir déjà vu votre nom quelques part. Ah! Voilà, le docteur Jukovishk vous attends, vous trouverez son bureau au fond du couloir à droite.
- Euh merci, répondit Jude surpris mais tout autant ravis.
Il suivit les indication de la secrétaire et se retrouva dans un couloir au papier peint jaune criarde et aux portes violettes. Mais où est-ce qu’il était tombé! Ah je savais bien qu’il ne fallait pas écouter les inconnu dans le train... mais bon maintenant que j’y suis après tous le chemin que je me suis tapé hors de question que je fasse demi-tour maintenant! Il scruta le nom inscrit sur les portes à la recherche de celui qu’il recherchait. Un nom comme le sien ne devait pas être difficile à trouver... ah! le voilà! DR JUKOVISHK CHRIS... il frappa trois fois et entendit une voix lui dire d’entrer avant de pénétrer dans la pièce. La salle n’était pas du tout comme ce que pouvais laisser penser le couloir, le papier était ici blanc mais de jolies peintures étaient accrochées autres que les posters montrant le corps humain habituellement scotché dans les cabinets médicaux. Jude fut assez surpris de voir Chris dans son uniforme de médecin, lui qui semblait simplet avait changé du tout au tout, c’était presque un coup à ne pas le reconnaître. sa blouse blanche sur le dos, un stylo accroché à la poche de la veste ainsi qu’un calepin dans la main droite et des lunettes sur le nez, il faisait vraiment sérieux. La seule chose qui gâchait l’image sérieuse de son futur médecin était sûrement les piles de paperasses en retard posées sur le coin de son bureau Comme quoi la première impression est trompeuse. Ils se serrèrent la main et s’essayèrent.
- Je ne savait pas si tu allais venir donc j’avais dis à la secrétaire d’accueil de réserver une place prioritaire si tu venais.
- Ah merci beaucoup, j’avoue qu’en voyant la queue j’ai eu peur, il y a toujours autant de monde?
- Oui hélas, mais encore heureusement, il faut bien que nous servions à quelque chose, mais si j’aimerais avoir un peu moins de patients de temps en temps. Alors votre cheville? ça ne va pas mieux?
- Non, je peux pas danser.
- vous êtes danseur?
- Ouai, mais arrêtez de me vouvoyer ça me gêne, je dois être plus jeune que vous.
- hein? alors je fais si vieux que ça?
- Mais non ce n’est pas ce que je voulais dire, rigola Jude devant son air faussement outré. Appelez moi Jude et tutoyez moi.
- Alors fais de même et appelle moi Chris. J’ai 30 ans et toi?
- 26...pourquoi vous... enfin tu fais cette tête?
- Je croyais que tu avais moins de 25 ans... mais ce n’est pas un problème, enfin bref, je vais te soigner et pour les présentation nous aurons tous le temps dans le train, ou autre part, pensa-t-il.
Chris l’examina et lui donna ce qu’il fallait pour avoir moins mal pendant ces répétitions. Quand Jude lui demanda une ordonnance Chris réalisa que c’était peut-être la dernière fois qu’il allait pouvoir lui parler seul à seul comme maintenant. Une seul idée lui vint en tête pour le revoir sachant que Jude n’était jamais allé à l’hôpital à par cette fois-ci, il y avait peut-être une chance pour qu’il y croit.
- Euh, je suis désoler je ne peux pas te faire d’ordonnance, il va falloir que tu reviennent ici jusqu’à ce que ta cheville soit guérie.
- Hein? mais pourquoi? je peux pas aller chercher mes médoc tout seul? et avoir un arrêt maladie?
- Non, tu dois revenir prendre tes médocs ici pour vérifier que tu prennes bien ce qu’il faut et pour vérifier l’état de sa cheville quotidiennement.
- Ah bon? et depuis quand on fait ça dans les hôpitaux?
- Je sais pas... euh non enfin je veux dire je sais pas depuis quand exactement mais c’est depuis cette année, essaya de se rattraper le médecin. C’est pour vérifier que certaines personnes n’aient pas d’arrêts maladies si elles ne sont pas malades. Certaines personnes profitent de nous pour ne pas aller travailler et être payer, te faire revenir nous permet de vérifier ainsi que si ta cheville guérit plus vite que prévus, que tu ne prennent pas de médicament pour rien... c’est pour ta santé, je ne fais qu’appliquer la loi.
- Ah d’accord, et donc je dois venir quand?
- Tous les jours matin et soir, tu as différents médocs à prendre, certains pour minimiser la douleur, d’autre pour que ça guérisse plus vite. Enfin je sais que c’est dur mais après au moins tu sera en forme pour danser.
- Matin et soir! mais c’est impossible, je me lève déjà hyper tôt je peux pas faire plus!
- Je suis désolé, je ne peux pas faire autrement...
- Vous êtes sûr que c’est indispensable?
- Oui, répondit Chris sur un ton sans appel mais qu’il regretta quand il vis la mine embêter de son patient. Peut-être qu’il pouvait changer ses plan et lui dire de ne venir que le soir.
- Okay je vais faire un effort mais ça à intérêt à être efficace! Bon bah merci Chris, je viendrais vers 7h d’accord?
- Oui très bien, à demain!
Chris ferma la porte et se rassis sur son fauteuil dans un bruit sourd. Il était vraiment embêté. Son mensonge était peut-être allé un peu trop loin. Mais n’ayant trouvé que ce moyen pour le revoir il avait pris le temps de développé ses arguments et il avait été très étonné que le jeune homme y croit, lui qui croyait que c’était peine perdu, apparemment son patient l’avait cru sans bronché. D’ailleurs il ne savait pas d’où il avait sorti cette loi stupide qui consistait à faire revenir tous les patients chaque jours pour des médicaments, et heureusement que cette loi n’existait pas car si tous le monde se mettait à revenir, certes le nombre d’emploi augmenterai mais l’attente serait infernale, il y aurait tellement de monde qu’il ne pourrait pas rentrer chez lui et il passerait sa vie ici... quel cauchemar! Son idée lui était sûrement venu de sa colère envers ses personnes qui profitait d’une fausse maladie pour vivre sur les impôts des autres sans travailler! Il laissa cette idée le quitter et se remis au remplissage de ces lettres posées sur son bureau.
*****
Jude revint chaque jours, matin et soir afin de prendre ces médicaments. Chris était conscient de faire faire à son patient plus de trajet que nécessaire, et lui donnait plus de médicament qu’il n’en fallait tous les jours. Il espérait simplement qu’il tiendrait le choc et ne ferait pas une indigestion. Il en profitait chaque jours pour parler de tout et de rien et essayai d’en savoir plus sur son patient de jour en jour. Il faisait de la danse depuis 20 ans, ayant d’abord commencé en danse classique puis passé par le modern jazz à 12 ans et enfin évoluer jusqu’au hip hop à 14 ans. Il était dans une école de danse depuis ses 16 ans et était devenu danseur dans une troupe et donnait des cours au plus petit. Mais il continuait malgré ça à prendre des cours dans son ancienne école et son spectacle était dans un mois. Il espérait se faire remarquer avec ses amis par des employeur ou autres. Sa vie c’était la scène, il était séparé de sa mère et son père se préoccupait peu de lui.
- Euh... et sinon tu as quelqu’un? demanda Chris sur un air faussement innocent.
- bah non la dernière personne avec qui je suis sortie c’était ya une semaine. Quand je t’ai rencontré pour la première fois.
- Ah, ELLE te manque alors?
- Euh... pas tout à fais, c’est moi qui l’ai largué, trop frivole... et toi?
- Euh, à peu près la même chose que toi sauf que moi c’était il y à plus longtemps.
- Ah je vois... c’est pas trop dur d’être tout seul? Parce que moi je commence et franchement ça me manque déjà!
- de quoi?
- Baiser.
Chris ne sur quoi répondre ne voulant pas lui déballer ces pratiques honteuses depuis 1 mois et surtout à qui il pensait en les faisant. Il lui dit en revoir et le regarda partir dans le couloir.
Jude tourna à gauche pou rejoindre la salle d’attente et y croisa un homme plutôt âgé, un long manteau et un chapeau noir sur la tête. Il portait un petit sac de médicament à la main.
- Bonjour monsieur, vous aussi vous venez pour prendre vos médicaments? C’est chiant de venir tous les jours quand même non?
- euh... non je ne vient pas tous les jours, je veux juste que le docteur me donne une nouvelle ordonnance, je n’ai plus de médicament et la pharmacie ne veux pas m’en redonner sans nouvelle ordonnance.
- Hein? Vous avez une ordonnance? mais le médecin vous a pas dit qu’il y avait une loi où l’on devait revenir tous les jours?
- Je sais pas qui te soigne mais il est maboul, me dit pas que tu crois à des conneries pareil, bon je te laisse petit , je vais être en retard.
Il le salua de la main et laissa Jude seul dans le couloir, assez choqué par ce qu’il venait d’entendre.
Durant toute la journée Jude réfléchissait à la conversation qu’il avait eut avec le vieil homme et se demandait qui il devait croire, Chris ou cet homme qu’il avait juste rencontré par hasard. En même temps il ne voyait pas pourquoi Chris lui aurait menti à propos des médicaments, ce n’était pas comme si il le faisait payer les médicaments à chaque fois qu’il venait et donc cela n’avait pas de but lucratif. Il décida de demander conseil à un de ses amis qui avait déjà s’était déjà casser la jambes auparavant et s’était retrouvé à l’hôpital.
- Hein? bah non j’y retournais pas tous les jours, t’es malade ou quoi? tu veux me tuer? en plus c’était super loin!
La réponse n’avait pas été celle espéré et pourtant Jude avait essayer pour la première fois de croire en Dieux et avait prier pour que son ami lui donne une bonne nouvelle et lui dise qu’il pouvait faire confiance à son médecin... résultat: il resterait Athée pour le restant de ses jours. Mais le problème n’était pas là, il devait encore retourner à l’hôpital ce soir et... Jude vit une multitude d’étoiles grises couvrir son champs de vision et sa vue devenir flou...
*****
Jude se réveilla à l’hôpital dans un chambre déjà occupé par un vieil homme ressemblant à celui qu’il avait vu dans le couloir... mais ce n’était pas lui et il le savait. Il trouvait juste que tous les vieux se ressemblait... en tout cas pour ce qui était de l’odeur, certains avaient de la chance et d’autre n’était pas épargner de cette odeur infâmes qui envahit tout individu ayant dépasser les 80 ans. Et encore, la dernière fois il avait croisé une dame de 60 ans à peine qui puait plus fort qu’un wagon de train entier après l’heure de pointe. Enfin, ça s’était peut-être plutôt dut à son manque de déodorant, il n’en savait rien, elle avait peut-être des circonstance atténuantes... ou pas. Il continua de sentir cette magnifique odeur de son compagnon de chambre jusqu’à ce que la porte s’ouvre et qu’un courant d’air se crée et permette au pauvre Jude de respirait l’air « frais » ou du moins plus que celui de la chambre actuelle.
- Chris!
- Euh oui? tu as fais une espèce d’indigestion, ce serait trop long à t’expliquer mais...
- Ne t’inquiète pas j’ai tout mon temps, d’ailleurs il y a beaucoup de chose que tu as à m’expliquer!
- De quoi tu parles?
- Fais pas le con hein?ça marche une fois mais pas deux!Cette foutue loi n’a jamais existée, tu t’ai bien foutu de ma gueule! Tu voulais me voir faire un indigestion de médoc? et bah c’est fais! Qu’est-ce que tu veux maintenant hein?
- Calme toi c’est pas ce que tu crois..., tenta d’expliquer Chris sous la colère de son patient.
- Ouai bah t’a intérêt à être persuasif sinon je te met une droite.
- Je... j’ai fais ça, commença-t-il à articuler, parce que... je voulais te revoir.
- Hein? t’appelle ça une raison valable?!s’exclama Jude hors de lui.
Chis n’eut pas le temps de le calmer que la droite était déjà partie et Chris eut la tête projeter de l’autre côté de la salle.
- Alors tu te sent comment maintenant hein?!
- Euh... bizarre... j’ai bien cru que j’allais être le premier homme à pouvoir faire un tour de 360° avec ma tête.
- C’est tout ce que tu as à dire? je viens de te mettre une droite et c’est tout ce que tu as à me dire à par une plaisanterie? Ah non avoue que tu caches une seringue pleine de mort au rat dans ta blouse! Ah! j’ai compris pourquoi tu as ce stylo accroché à ta veste, c’est pas un stylo mais un seringue empoisonnée! s’écria Jude sur un air mélodramatique.
- Haha, tu as découvert mon secret!
- espèce d’imbécile, à cause de toi j’ai cru que j’allais mourir, déclara Jude sur un air solennel mais apparemment calmé.
- Désolé, je ne savais pas que j’allais mettre ta santé en danger, ce n’était pas mon but.
- hum, rappel moi pourquoi tu m’a fais revenir ici tant de fois, matin et soir, alors que j’était fatigué, épuisé, au bord de la mort?
- je... je voulais juste te revoir... répondit le médecin, la tête dans les épaule, les joues rouge de honte et les yeux fermé près à se reprendre une deuxième droite.
- Si c’était que ça il fallait le dire, soupira-t-il suivit par un sourire.
- Hein? mais... tu m’en remet pas une?
- Si tu tiens tant que ça à être le premier homme à tête pivotante ça peut se faire.
- Oublis ce que j’ai dis.
- Tu as intérêt à te faire pardonner... tiens si on allais dîner demain? et après on va au ciné! Bien sûr tu payes hein?
- Euh... Okay, répondit Chris assez surpris par sa réaction... quelques seconde plus tard son expression passa de la joie à la peur en voyant Jude arrêté de sourire et le saisir par le col en criant.
- N’empêche que tu imagines que j’aurais put crever!
- Je suis désolé.
- En plus tu m’as fais levé plus tôt depuis 1 semaine!
- désolé.
- Et me suis levé plus tôt pour quoi? avoir une indigestion de médoc!! continua-t-il encore plus fort.
- Désolé!!!! répétait Chris au bord de la crise cardiaque.
La journée du lendemain promettait d’être sans pitié pour le jeune médecin.
*****
Chris et Jude se retrouvèrent comme convenu devant un grand restaurant. Ils demandèrent une table et allèrent s’asseoir dans le fond de la salle.
-Euh, pourquoi on est dans un grand restau comme ça? je suis pas habitué à ça, on aurait pas put aller autre part? demanda Chris en regardant la carte.
- Qui dit chic dit chère, alors si tu crois que tu vas t’en tirer avec un fast food à trois franc! Tu m’as fais perdre mon temps pendant une semaine et le temps c’est de l’argent donc payes moi au moins de la bonne bouffe!
Chris soupira et replongea son nez dans les menu. Jamais il n’avait été dans un restaurant comme celui là, même pour la dernière saint valentin... en même temps vu comment c’était terminé la soirée ça aurait été inutile de payer autant. Se remémorer la saint valentin lui fit penser directement aux yeux de poisson mort de sa compagne... ah bah tiens ya de la friture! Juste la pensé de revoir un poisson lui faisait remonté ses vieux souvenirs et son imagination lui faisait faire des cauchemars, imaginant sa dernière valentine armé d’une canne à pêche, des yeux de poisson à la place de ses yeux normaux (ce qui ne changeait pas grand chose donc) et celle-ci lui disait « viens! viens je vais t‘avoir par le trou avec mon hameçon! » C’était toujours à ce moment là qu’il se réveillait... et c’était peut-être une bonne chose, car honnêtement il ne voulait pas savoir ce qui allait se passer ensuite. Ce fut à la fin de ces longues minutes de rêverie que Jude commença à agiter la main devant le visage de son ami.
- Eh Oh! réveilles toi!
- hein? oh désolé je repensais à mon ex.
- Elle te manque?
- pas trop non, et il commença à lui raconter ses rêves étrange ce qui fit rire Jude jusqu’aux larmes.
- J’y crois pas! Ta vraiment de l’imagination!
- bah j’y peut rien on peut pas tous avoir de beau yeux.
C’est à ce moment là que Chris plongea son regard dans celui de son voisin de table. Il était totalement fasciné, ensorceler par ses yeux d’un doré sans fin. Ses pupilles étaient ovales et ressemblaient à celles d’un chat. Ils étaient tout simplement magnifiques.
- Bon quand t’auras finis de baver devant ma beauté parfaite fais moi signe!
- Ah! désolé!...tu as de très beaux yeux tu sais?
- Dis sur un ton plus viril ça le ferait.
- Tu as de très beaux yeux tu sais, répéta Chris en se prêtant au jeu.
- Oui je sais, finit Jude en l’embrassant.
L’effet de surprise fut total et même une voyante n’aurait pas put prévoir le coup [je vois déjà toutes les voyantes crier au scandale]. Toutes les conversations du restaurant baissèrent et devinrent encore plus basses qu’elles ne l’étaient déjà et Chris avait même l’impression que l’orchestre [oui il y a un orchestre] avait baissé d’une note dans les graves. En fait il avait plutôt l’impression que le temps s’était arrêté et que tous le monde le regardait les yeux grand ouvert, la bouche encore pleine.
Jude s’éloigna et se rassit comme si de rien n’était. Et commença à manger ce que le serveur qui était toujours sur place les yeux ecarquillé avait posé sur la table. Peu à peu le bruits revint laissant Chris tétanisé sur sa chaise n’osant plus regarder ni son ami, ni le serveur, ni les gens de la salle.
- T’inquiète pas, c’est toujours comme ça, tu as l’impression que le temps s’est arrêté mais en fait se sont juste les gens qui se sont arrêtés... apparemment tu as vu ce que j’ai vu non? la dame au fond à droite, la bouche ouverte et encore pleine, ce sont ces genres de chose qui dégoûte. La vérité ce n’est pas que les homos ont peur s’embrasser en public ou devant leur parent, c’est juste qu’ils ont peur de voir cette vision vomitive de la bouche encore ouverte pleine de brocolis encore frais, ni trop dure, ni trop mâché dans la bouche d’une vieille dame pustuleuse. Donc c’est aussi pour ça que deux jeunes homme ne s’embrassent pas devant leurs parents, tout le monde crois que c’est parce qu’ils ont peur ou honte! mais c’est faux! moi je vais te dire pourquoi, c’est simplement que voir l’intérieur de la bouche de ton père en bouffant de la pizza c’est pas top... enfin après ça tu vois plus jamais ta famille de la même manière... Donc ceci explique cela!
- Waouh.... tu sais que tu m’inquiète toi, s’exclama Chris en rigolant sans retenu dans le restaurant déjà assez perturbé par leur exploit précédent. Mais c’est une bonne théorie, plutôt positive!
- Je sais j’ai expérimenté beaucoup le truc je te jure j’ai vu l’intérieur de la bouche de toute ma famille en même temps.
- Tu es... homo?
- Ah je te l’avais pas dit? enfin de tout façon je suppose que ça ne te surprend pas après ce que je viens de faire et ça ne t’as pas déplu non? ne me dis pas que tu voulais juste me revoir parce que tu es en manque d’ami?
- Mouai c’est vrai... j’ai droit à un deuxième?
- Non, on verra plus tard, on à encore le temps, 1 semaine que tu me pourris la vie donc tu me payes le resto ciné pendant une semaine!
*****
Aujourd’hui était le dernier jour, cela faisait une semaine que Chris payait le restaurant de luxe à Jude qui ne cessait pourtant de se plaindre de la trop petite quantité de la nourriture. Le dernier restaurant où ils s’étaient rendu, un vase d’énorme rose était installé au milieu de la table entre eux deux. La quantité de nourriture avait été dosé au minimum et Jude était allé se plaindre et faire une scène au milieu du restaurant.
«- Nan mais vous avez pas honte de servir aussi peu de nourriture! pour le pris qu’on paye on pourrais en avoir un minimum! - Veuillez faire moins de bruit monsieur, venez me voir dans mon bureau nous allons arranger le problème.
- je veux pas me plaindre durant des heures et chercher une solution je voulais juste vous dire deux mots comme ça! De plus vous voyez les roses sur la table! Je suis sur que si on les bouffais on aurais plus à manger que dans notre assiette! »
C‘est à ce moment là qu’ils s’étaient fais viré en beauté avec l’interdiction de revenir, ce que n’avait pas protesté Jude en assurant ne jamais revenir dans un endroit où c’était pire qu’au McDo... Le patron n’avait pas aimé la comparaison et était sorti en courant à notre poursuite, le pauvre il boitait, Chris avait presque envie de lui donner sa carte pour le soigner et Jude semblait tout à fais d‘accord près à renouveler l‘idée de le faire revenir tous les jours pour lui faire provoquer une indigestion de médoc. Jamais il n’oublierai cette soirée. De plus il avait eut droit à son bisous devant la porte de sa maison ce qui l’avait finie en beauté.
Pour ce dernier jour, il se demandait si Jude allait l’oublier où s’il allait accepter de continuer à le voir. Il avait dit une semaine et peut-être qu’il allait arrêter au bout de ces quelques jours. Chris s’inquiétait de plus en plus d’autant qu’il ne voyait pas son ami arrivé. C’est au bout de 10 minutes de retard qu’il apparut enfin sur le trottoir voisin. Il lui fit un signe de la main, invitant Chris à le rejoindre. Ils ne prononcèrent pas un mot jusqu’à ce que Jude lui dise de descendre du métro qu’ils avaient pris. Il se retrouvèrent devant un grand parc dont Chris n’avait même pas connaissance. Jude l’emmena vers un camion et il achetèrent deux hot dog ainsi qu’un paquet de frite. Chris continua de suivre son patient jusqu’à un banc au milieu de parc, complètement abandonné. Ils mangèrent en silence jusqu’à ce que Chris demande enfin ce qu’il faisait là.
- Euh, Jude? Pourquoi tu m’a amené là?
- On y allais souvent avec ma mère, j’aime cette endroit. Et puis je pensais que pour notre dernière soirée c’était mieux qu’un de ces resto chic complètement bio. Rien vaut mieux que les vieux bon hot dog fait maison.
- Oui tu as probablement raison, fit Chris un peu triste que Jude confirme ses soupçons en parlant de leur dernière soirée.
- T’as l’air triste, qu’est-ce que t’as?
- Rien , je pensais que c’était notre dernière soirée.
- Mouai allez viens là, je vais te donner ce que t’attend depuis une semaine.
D’abord Chris ne compris pas jusqu’à ce qu’il voyant Jude se coucher dans l’herbe verte fraîchement tondue. Il alla le rejoindre un peu nerveux car c’était ce que l’on pouvait appeler sa « première fois » avec un mec. Il vint s’asseoir près de son ami et plongea son regard encore une fois son regard dans ses yeux dorés.
- Écoute, je peux pas, si c’est juste une fois, ça m’intéresse pas.
Jude , lui, commençait déjà à se déshabiller et avait enlevé son tee-shirt, laissant voir son torse musclé par la danse.
- Eh tu m’écoutes quand je parle? s’exclama Chris sans réussir néanmoins à détourner son regard de cette créature de rêve.
- Allez avoue que ça fais une semaine, voir plus que tu penses à moi en te branlant, donc profite aujourd’hui c’est ta chance, murmura Jude à son futur partenaire, au creux de l’oreille.
Il patienta en attendant une réponse et commença à lui mordre le lobe. Il passa sa langue sur cette petite boule de chaire et descendit petit à petit sur son cou qu’il mordilla. Chris abandonna et entreprit de caresser les fines hanche de son patient. Sa peau était lisse et douce, très blanche mais cela lui allait tellement bien. Jude arrêta de le mordre et pour emprisonner ses lèvres. Il joua avec sa langue ne se lassant plus de l’embrasser. Il finit par mettre fin à ce délicieux moment et lui lécha sensuellement les lèvres tandis que Chris lui caressait la bosse qui se formait dans son pantalon et devenait de plus en plus grosse. Ni tenant plus, Jude arrêta toute activité et enleva son jean d’un coup sec et le balança un peu plus loin. Il fit de même pour son caleçon et exhiba fièrement son sexe dressé devant Chris, qui lui aussi commençait à se sentir incroyablement serré dans son pantalon.
- Suce moi Chris... s’il te plait.
L’interpellé s’approcha doucement et contrairement à ce qu’il s’attendait, il le prit par les hanches et lui lécha ses tétons dure et rose tout en passant un doigt sur le sexe de Jude qui émit un gémissement de protestation.
- Chris!
- Tu m’as dit de profiter, donc... je profite!
- mais... ah!
Chris venait d’arrêter de lui caresser le sexe et avait passé sa main sur son derrière, et avait passer son doigt sur son anus, il savait ce qu’il devait faire dans cette relation mais pas vraiment comment, une approche de ce genre lui permettait de « tâter le terrain ».
Il continua donc à lui caresser la raie et approcha enfin sa bouche de l’intimité dressée de son partenaire et en lécha la verge déjà mouillée. Il continua ses coups de langues pas trop prononcés qui faisait pourtant bien réagir la victime de ceux-ci. Alors Chris lécha son doigt et l’enfonça enfin dans l’anus de son ami qu’il caressait depuis déjà un bon bout de temps. Il enfonça deux doigts d’un coup ce qui fit gémir Jude de plaisir, plutôt heureux de cette intrusion qui commençait à se faire attendre. Chris remarqua sa réaction et les enfonça sans relâche. Pendant qu’il activait son poignet il décida de passer aux choses sérieuses et avala le membre dressé de Jude qui criait déjà de plaisir. Il fit de grand va et viens avec sa bouche essayant tant bien que mal d’imiter ces copines précédentes, n’ayant que ça pour exemple. Petit à petit, se sentant de plus en plus à l’aise, Chris ne se l’imita plus au simple va et viens et utilisa sa langue qu’il enroula autour de son membre. Il refit quelques va et viens avant de s’amuser encore une fois avec sa langue, vu que son ami gémissait plus fort quand il faisait ça. Il retira enfin ses habits qu’il le serrait et libera enfin son sexe plein de désir lui aussi depuis le début, mais qu’il tentait de maîtriser jusqu’à maintenant. Jude se mit à quatre patte et entrepris de lécher à son tour l’objet imposant du médecin. Sa technique était sûr et ces coups de langues étaient parfaits, jamais Chris n’avait reçut une fellation comme celle-là. Il retenait ses gémissements et fut encore plus exciter par la vue du derrière de son amant légèrement remonté. Pendant que Jude était encore occupé, Chris passa ses doigt sur sa raies jusqu’à son trou avant de les enfoncer d’une simple pression à l’intérieur.
Tous deux criaient de plaisir et pourtant chacun savait que ce n’était pas encore le plus orgasmique. Ils sentirent que c’était le moment et Jude remonta la tête et se mit à califourchon sur son homme. Chris lui ne savait pas vraiment quoi faire, entre dominer comme avec une femme où laisser faire son cadet qui en savait déjà plus sur la matière. La deuxième solution fut la plus rapide et Jude ne laissa pas le temps à son ami de faire quoi que ce soit, il s’empala sur son sexe en gémissant. Chris ne savait pas distinguer les gémissement de plaisir et de douleur mais il supposa que ceci étaient dut au plaisir quand il sentit son partenaire bouger ses hanches. La sensation était incroyable aussi bien pour l’un que pour l’autre. Chris aimait être au fond de sa cavité, chaude et glissante, Jude lui n’avait jamais pris autant de plaisir depuis bien longtemps, avoir le sexe de Chris en lui, lui donnait des montées de plaisir sans pareilles. Ce ne fut qu’après s’être libéré une fois tous les deux que Chris décida enfin de prendre les devant et retourna son amant sur le dos avant de se placer dessus. Jude remonta ses jambes sur son torse et attendit que Chris continu à les faire monter jusqu’à la jouissance. Celui-ci ne se fit pas attendre et commença ses coup de bassin déchaîner, des vas et viens, forts et sauvages mais Jude n’en demandais pas moins n’essayant pas une seule fois de s’en plaindre. Chris continua jusqu’à ce que le plaisir le submerge et qu’il tombe sur le ventre sur torse de Jude, lui aussi recouvert de sa semence.
- Ah... c’était trop bon, soupira Jude au bord de l’évanouissement.
- Ouai, vraiment trop bon.
- On se refait ça quand tu veux.
- Je croyais que tu avais dis que ce serait notre dernière soirée?
- Oui, notre dernière soirée avant que les autres ne soit officielle, si tu vois ce que je veux dire... à par si tu veux pas bien sûr?
- naaan! Je veux! cria Chris de toute les force qu’il lui restait avant de l’embrasser.
Soudain un bruit survint des buisson interrompant les deux tourtereaux dans les bras l’un de l’autre. Ce ne fut plus une douce étreinte chaleureuse qu’offrit Jude à son amant mais plutôt un écrasement surpuissant qui montra sa peur de ce qui se cachait dans l’arbuste.
- Mais qu’est-ce que... Non mais vous avez pas honte de faire ça!! S’exclama le gardien de nuit qui venait de jaillir d’un seul coups une lampe torche à la main et un hot dog dans l’autre - bah quoi? fit Jude le plus naturellement du monde avant d’embrasser pour la énième fois son amant.
L’effet fut instantané, le gardien resta la bouche ouverte, le hot dog encore frais entre les molaires.
- J’appelle la sécurité, déclara-t-il en repartant chercher quelqu’un qui pourrait sans doute l’aider psychologiquement à surmonté ce qu’il venait de voir.
- Tu vois? je t’ai dit!On y à tout le temps le droit! C’est dégueulasse!
- Tu serais pas un peu scato ou adepte aux chose vomitive dans le genre? je reviens plus jamais dans un parc en pleine nuit avec toi! Déjà le coup des brocoli c’était limite mais alors là!?
-Allez, excuse moi mon amour!
- Attend... répète?
- Mon amour!
- hum... ya peut-être moyen de s’arranger.
*****
Jude entra ne scène plus à l’aise que jamais. Il avait réussit à apprendre toutes les chorégraphies manquantes et les savait comme personne. Il dansait sur le rythme des notes ne pensant qu’à réussir et à rendre fier son public. Tout le monde applaudissait son entré en scène et continuait jusqu’à l’arrêt de la musique qui marqua la fin du spectacle. Il salua et fixa le fond de la salle. Deux yeux le regardait, son propriétaire avait beau dire qu’ils étaient ordinaire, lui trouvait que c’étaient les plus beau yeux du monde. Rien ne lui importait plus que d’être vu part ses yeux là. Car depuis ça rencontre avec eux, ils étaient toujours là pour le regarder.