hello!!! oui je sais j'avais promis de mettre la suite il y a 2 ou trois jours mais je n'ai pas eut le temps...ne me frappez pas! bon je me depêche je dois arréter l'ordi >< je suis bien rentrée et comme vous le voyez les accents sont revenus! bref ce soir sortis entre amies, senace bavage devant plublic ennemis (jonhy depp oblige ^^) et seance film d'horreur donc c'est pas ce soir que j'aurais le tmeps de reflechir à la suite...je voualis mettre un peu plus de ligne à ce chapitre mais en fait je l'ai enlevé pour mettre un peu de suspens XD bref bonne lecture!!!
CHAP 7
Semha était toujours sur le pas de la porte et j'attendais impatiemment une réponse de sa part. Je le vis ouvrir la bouche ne sachant que dire face a mon accusation. Seul Le bruits de la pendule se rependait dans la pièce essayant vainement de casser le silence devenu insupportable, jusqu'a ce que je relance la conversation qui s'annonçait plutôt délicate:
- Semha! répond moi!
- Écoute je...
- Quoi! alors c'est vraiment toi! criai-je sans retenu tandis que j'essayais de me reculer petit a petit afin de m'éloigner.
- écoute...je...j'ai fais ça pour toi!
- Pour moi! tu as tue un homme pour moi?!
- Je voulais juste lui donner une leçon, mais quand je l'ai vu, et repense a ce qu'il t'avais fais je ne sais pas ce qu'il m'a pris...
-Pourquoi? tout allait s'arranger, il aurait été virer, je n'aurais plus eu de problèmes... alors pourquoi? continuai-je d'une voix chevrotante au bord des larmes.
-Je suis sur qu'il aurait recommencer! qui te dit qu'il n'aurait pas continuer a te harceler après?
- Mais... la police aurait put s'en occuper...
- La police ne sert a rien, répondit-il d'une voix basse mais sur de lui.
- Ils vont te retrouver...
- Non, ne t'inquiète pas j'avais des gants, j'ai fais attention a ne rien laisser...
- Ne te fais pas d'idées! je ne m'inquiète pas du tout pour un assassin!
- Je... tiens a toi! j'avais peur pour toi, si tu avais vu ses yeux, il n'aurait jamais arrêter! je n'ai pense qu'a toi en faisant ça, j'ai cru que... que tu serai plus rassure... tu m'en veux?
- Oui je t'en veux d'avoir tue quelqu'un, lui dis-je en séchant les quelques larmes qui s'étaient échouées sur mes joues, mais en même temps quand je pense a ce qu'il m'a fait, je me sent heureux, je ne sais pas quoi penser.
-Je t'aime beaucoup tu sais, tu es un bon ami, je ne veux pas que tu me détestes...
- je ne sais pas, soupirai-je après un temps de réflexion, je dois réfléchir, il vaudrait mieux que nous arrêtions de nous voir,je retourne chez moi demain, je n'ai pas le courage de le faire aujourd'hui.
- Louka...
Je me relevai et me retournai laissant Semha seul dans le salon. Je pénétrait dans la chambre et tomba de tout mon poids sur le lit. Celui-ci m'accueillit avec mécontentement me laissant entendre le bruit strident des ressorts. Je m'enveloppai dans la couverture et posai ma tête déjà si fatiguée des le matin, sur l'oreiller qui n'attendait que moi. Mes yeux me piquaient un peu et je préférai les fermer ayant trop de peu de courage de me faire mal. Je n'eu pas a attendre longtemps pour que le sommeil vienne me prendre, repoussant mes pensées a plus tard.
Je me réveillai trois heure plus tard, dans mon lit défait, j'avais sûrement dut beaucoup bouger. Une bonne odeur s'évadait de la porte. Soudain quelqu'un frappa a la porte.
- Louka... si tu veux manger j'ai préparer quelque chose.
Je me contentai de ne pas répondre et entendit ses pas s'éloigner après un soupire. L'envie de manger me tenaillait l'estomac mais je résistait tant bien que mal à me retenir et rester dans la chambre. Je me remis dans mon lit voulant réfléchir a la situation. Ce qu'il avait dit était totalement vrai, je me sentais plus que soulager de savoir que je n'allais plus jamais revoir cet homme, qu'il n'allait plus jamais me toucher, me faire du mal. il y avait comme un sentiment de joie, une envie de crier haut et fort que j'étais à présent libre, que je pouvait enfin vivre ma vie sans avoir peur à chaque coin de rue, à chaque bruit de verre cassé; je pouvais enfin vivre ma vie comme tout le monde sans contraintes, sans risques, sans me cacher. Mais ce sentiment était partagé avec le fait de savoir qui l'avait tué. J'étais sûr que tout aurait été différent si je ne connaissais pas l'assassin, je crois même que au fond de moi je l'aurais remercier de m'avoir libéré de cette menace, mais malheureusement tout ne ce déroulait pas comme on le souhaiterait. Je le connaissais, je m'étais fait une image de lui exemplaire, sans défaut, sans faille. Un homme gentil avec lequel je me sentais en sécurité, avec lequel je me disais que je ne risquais rien. Ce qu'il avait fait me faisais douter de lui, de sa vraie nature: et si un jour il était en colère contre moi, qu'arriverai-t-il? s'il devenait violent?si tout ce que j'avais vu de lui jusqu'à présent n'était qu'une façade, un mensonge. Que penser de cet homme dont en fait, je ne connaissais rien, pour moi ce n'était qu'un inconnu rien de plus. Qui me disait qu'il était réellement au lycée avec moi? qui me disait qu'il ne m'avais pas aidé pour mieux profiter de moi après? Je me rendais compte petit a petit que rien était sûr, que j'avais bu ses paroles sans doutes, sans hésitations. Tout ce que je croyais savoir n'était que des illusions, des paroles sans certitude, et aujourd'hui toutes mes certitudes se brisaient en morceau. Alors a qui faire confiance? Pouvais-je encore faire confiance à un homme dont je n'étais sûr de rien? Devais-je lui pardonner de m'avoir libéré ou le haïr d'avoir transgressé la loi? Ma conscience voulait lui pardonner mais ma morale me dictait le contraire. Et si je lui pardonnais, continuerai-je à voir un inconnu? ce fut peut-être à ce moment là que notre relation changea.
*****
La nuit tomba et je n'avais rien mangé, pas que l'envie me manquait mais je n'aurais pas supporté de voir Semha sans savoir ce que je ressentait vraiment vis à vis de la situation. Il était près de 23 heures quand je me décidai enfin de sortir de ma chambre pour aller piquer quelque chose dans le frigidaire. J'avais entendu mon colocataire se coucher 1 heure plus tôt et je n'allais donc pas le croiser. Je sortis doucement en tenant bien la porte de manière à ne pas la faire grincer. Je me dirigeai à tâtons jusqu'au frigo et ouvrit cette entre d'alibaba dont je rêvai depuis ce midi. je saisit une bouteille d'eau et une mousse aux chocolat que je dévorai en un rien de temps. Une fois ce dessert finis je décidai d'emporter le paquet dans ma chambre afin de continuer à déguster tranquillement.
Alors je m'apprêtai à repartir dans ma chambre j'entendis comme un grognement. Je me retournai et me retrouvai nez à nez avec la porte de Semha. Je m'approchai assez intrigué par ces drôles de sons qui émanaient de la porte. Plus je m'approchai plus ses sons se devenait étranges, je pouvais distinguer sa voix qui était plus aigue que d'habitude. "c'est sûrement un cauchemar... je vais pas aller le réconforter quand même!" je tournais les talons résolut à le laisser et retournai dans ma chambre. Je me mis à déguster avec délice ces petites mousses chocolatées alternant une bouché de mousse avec une gorgée d'eau. Arès avoir finis de me régaler je me recouchai ne trouvant rien d'autre à faire à minuit. les grognement de tut à l'heure me revinrent en mémoires et je me demandais de plus en plus ce qu'il fabriquait. J'avais put distinguer quelques halètements et bruits étouffés... Ces derniers souvenirs me donnèrent la clef du mystère qui me semblais moins grave que ce que j'avais imaginé.
"N'empêche que je ne crois pas faire autant de bruit quand je me branle moi! Et puis qu'il fasse ça juste à côté ne me rassure pas vraiment..."
Le bruit de la douche me fit sursauter et je confirmai mon hypothèse sur ces activités précédentes et essayai de me rendormir.
*****
Je me réveillai, fatigué de m'être couché tard et de n'avoir pas vraiment mangé. L'emballage de mon "repas" d'hier traînait sur le sol ainsi que les pots. Aujourd'hui était lundi et donc un jour de cours. Trop occupé à entreprendre mon "déménagement", Je choisis de louper les cours de la matinée. Semha avait cours une heure plus tôt que moi et devait déjà être parti. J'allai me servir un déjeuner convenable et pris mon sac et rangea mes vêtements dedans.
Une fois cette corvée finie je posai les clefs sur la table et partis.
Mon appartement était complètement à l'abandon. La poussière s'était installée comme principale résident et l'odeur de moisissure ainsi que l'humidité ne manquaient pas. J'ouvris les volets et exécutai un curieux geste de la main de gauche à droite ayant pour but d'évacuer les mauvaises odeurs et poussières. Ensuite je rangeai mais affaires dans mes tiroirs non utilisé depuis un mois. Je replaçai mes affaires de toilettes sur les étagères de la salle de bain et remis ma brosse à dent dans un petit verre à côté de l'évier. Ce objet eut pour effet de me rendre nostalgique quand je vis ma brosse à dent seul dans le verre alors que chez Semha nos brosses étaient dans le même verre l'une à côté de l'autre. Je regardai autour de moi et me sentais affreusement seul, une seule serviette, un seul couvert, je retrouvai au fur et à mesure la dure vie en solitaire.
Je regardai la pendule que j'avais fixé en arrivant et remarqua l'heure qui commençait à se faire tardive. A mon grand désespoir il n'y avait rien dans le frigo depuis deux mois et je n'avais pas le temps de faire la queue au supermarché pour un malheureux croissant. Je me résolut à partir en cours le ventre vide. Mes mais étaient déjà là et m'accueillir à bras ouverts en me demandant la cause de mon retard. Je pris le temps d'expliquer une fausse panne de réveil et changeai de sujet. Une question s'imposait dans mon esprit et un autre vais que le mien venant de l'extérieur me semblait une bonne idée, il suffisait juste de changer deux ou trois choses.
- Euh, dîtes je peux vous poser une question? Alors euh voilà, la fille avec qui j'étais dans l'appartement à un cousin qui à tabasser un mec qui la harcelait. Maintenant ce mec est dans le coma, dis-je en essayant d'éviter que l'homme en question était mort, qu'est-ce que vous penseriez de votre cousin après ça?
- Bah c'est bien, répondit Fiona sans hésitation.
- Mais tu n'en voudrais pas à ton cousin en sachant qu'il à tué quelqu'un?
- Non, au contraire je crois que je serais heureuse, il a fait ça pour me défendre, ça signifie qu'il s'inquiétait pour moi donc je lui ne voudrait parce qu'il s'inquiétait, ce serait idiot de ma part.
- ah... tu as probablement raison, fis-je étonné de sa réponse qu'elle avait dite sans la moindres once d'hésitation.
Nous nous séparèrent peu de temps après pour aller dans nos cours respectif. Chacun m'avaient dit leur avis sur la situation et à mon grand étonnement personne n'avait réagit comme moi. mes doutes étaient pourtant compréhensible non? les cours se terminaient plus tôt aujourd'hui et je put profiter pleinement de mon temps libre... mais à quoi faire? et avec qui? D'habitude, dans ces cas là j'essayai de m'arranger avec mon colocataire pour aller manger une glace ou faire un tour dans le parc. Je ne le connaissais pas et pourtant il m'avait raconté énormément de chose sur lui. mais il y avait bien un sujet que je n'avais jamais abordé, celui de sa famille, déjà la première fois, quand je lui avais demandé le nom de ses parents il avait eut l'air gêné, hésitant. J'avais compris que cela devait être un sujet sensible et j'avais arrêter de parler de tous sujets de cet ordre là... même si parfois il m'arrivait de repenser à ça et d'essayer de deviner le problème, des parents divorcés? absents? ou peut-être dans le pire des cas ne connaissait-il pas ses parents? dans tous les cas j'espérai de tout mon coeur que ce n'était pas ça. Dehors je croisais toutes sortes de personnes plus saugrenues les unes que les autres, c'est étonnant de voir à quel point ce pouvait être intéressant d'observer les gens, leurs comportements. Par exemple cette fille qui est en train de parler ou plutôt qui crie sur son petit ami et qui n'arrête pas d'agiter son index devant son visage, ou encore cet homme complètement avachi, le dos courbé, marchant à pas lent une valise sous le bras, je dirai que cet homme vient de se faire mettre au chômage, et puis il y a cette femme qui vient de regarder pour la énième fois son sac voir si il était bien fermer, elle doit sûrement avoir des TOC, pas facile pour elle tout les jour à mon avis. je restait là à étudier le comportement des passants durant une heure, une cannette de bière à la main avant de repartir pour mon appart.
*****
Cela faisait bien une semaine que je vivais tout seul, comme avant, dans mon petit appartement de 3 pièces. Je commençais à me fatigué de n'avoir rien à faire, je n'arrivais pas à me convaincre d'appeler mes amis pour sortir, la seul personne vers qui mes pensées se tournaient étaient vers Semha. Vivait-il la solitude aussi mal que moi? se réveiller seul, manger seul, regarder la télé en solitaire. Ce quotidien m'était devenu insupportable, presque comme une routine, une autoroute sans virages. Peut-être devrai-je retourner voir Semha, après tout je crois être le seul à avoir envisager de lui ne vouloir, il a voulut me rendre service, ce n'est pas comme ci il voulait me faire du mal ou j ne sais quoi d'autre. Je repris mes affaires fraîchement lavé dans mon sac, repris mes affaires de toilettes et ferma la porte à clef derrière moi.
Je montai les escaliers directement jusqu'à la porte de son appartement. Bizarrement celle-ci était déjà ouverte. Je la poussai d'un revers de main et pénétrai dans le salon qui se trouvait dans le noir complet. Apparemment Semha était déjà aller se coucher et j'arrivais à la mauvaise heure. Je décidai de quand même aller voir en entendant quelques bruits venant de la chambre. Je me mis à marcher à pas progressif vers la porte jusqu'à ce que je trébuche sur un objet inconnu. D'après ma mémoire rien ne se situait au milieu de la pièce si ce n'est la table basse près du canapé... mais cet objet avait plutôt une forme ronde... ainsi qu'une tige... Curieux je tâtais le mur de sorte à trouver interrupteur. Quand la lumière s'alluma enfin je ne put retenir un cri de stupeur. Le salon ne ressemblait plus à son aspect d'antan mais à un champs de bataille, les coussins étaient par terre ainsi que du verre cassé près de la table à manger. Les chaises renversées bloquaient le passage à la cuisine et l'objet sur lequel j'avais trébuché par mégarde était en fait le lampadaire. Je continuai de regarder la pièce dévaster quand je réentendit pour la seconde fois ces étranges bruits dans la chambre. J'enjambai les bout de verre et réussit à atteindre la porte avant de l'ouvrir. La chambre était elle aussi dans le noir complet. Je continuai ma route jusqu'à la salle de bain et m'adossa au mur afin d'entendre ce qui se passait. Semha s'était peut-être fait agressé vu l'état de l'appartement. Je tendis l'oreille et perçut quelques halètements plus prononcés que la dernière fois ainsi que de fortes respirations, qui ressemblaient à une mini crise d'asthme. Je pris mon courage à deux mains et entra dans la salle d'eau en allumant la lumière...
ahaha la suite au prochain épisode!!!