Magazine Journal intime

Les zamis se suivent et ne se ressemblent pas…

Publié le 02 décembre 2012 par Anaïs Valente

Après le zami Facebook Groseille un chouia grossier, souvenez-vous : Niker t mort enfoiré de mes couille c pute Fer chier c putain de merde c fils de pute creve toi et ta mere fo les niker c fils de pute bande de pite

Je demande le zami Facebook Lequesnoy jusqu'au bout des doigts :

Ici encore peu de mots, juste l'essentiel, présentation quotidienne de ses achats et tenues du jour : écharpe en vison, manteau en vison, truc bazar Kelly, boots Vuitton, sacs et accessoires Vuitton à en avoir la nausée, trucs Hermès, et puis des godasses Chanel, Chanel encore, Chanel toujours, et enfin sa commande de caviar, tant qu'à faire… sans oublier des montres Chanel, des dizaines de bagues en "djamants", le tout acheté à Paris et Genève, my dear.  Même la photo de profil et la couverture sont un étalage de "salut, tu heu, vas heu, bien heu". 

Mais c'est pas un zami ça, c'est un dressing de luxe qui a usurpé une identité humaine !

Je me serais crue dans la quatrième dimension, mais non, j'étais dans la vraie vie !  Enfin pas la vraie vie de tout un chacun, of course.

Bon, déjà au vison, j'avais plus envie de l'avoir comme zami, clair.

Alors, finalement, pas de Groseille, pas de Lequesnoy, telle est ma devise.


Retour à La Une de Logo Paperblog