l'ombre de la lumière rejaillit dans la nuit,
comme ultime miroir de mon ancienne vie;
que de songes perdus de mes pensées profondes,
évanouies mes peurs je me glace transis!
de ce froid qui m'anime,goût acre,insipide
momifie mes désirs dans un ultime ennui!
l'ombre de la misère souffle fort dans ma vie,
comme avis de décès de mes années qui FUIENT!
les mensonges reçus, les quolibets aussi,
glacé de ces horreurs je me cache,meurtri.
et l'effroi qui m'anime dans ce trou noir obscur
fait me cacher ma honte,depuis j'en suis sorti!