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Technion et sclérose

Publié le 03 avril 2008 par Pat La Fourmi
C’est au Salon Hoche que s’est tenu, le 2 avril dernier, le dîner de gala de l’association Technion France sur le thème de la maladie de la sclérose en plaques.

150 invités étaient présents dans la salle. Parmi eux, on a remarqué la présence de Patrick Timsit, Michel Fernandez et de Dominique Farrugia. La majorité des participants était constituée de médecins et spécialistes français et israéliens.

Tous étaient donc réunis pour une même cause : soutenir la recherche médicale en faveur de la lutte contre les maladies neurologiques et plus particulièrement de la sclérose en plaques.

Une maladie qui touche les jeunes adultes mais davantage les femmes (près de deux tiers) que les hommes.

La sclérose en plaques est principalement due à des troubles au niveau des neurones du cerveau qui provoquent un crash cervical et causent un handicap moteur (invalidité importante) à l’image d’un court circuit dans une habitation qui provoque l’obscurité. (?????? le coup du crash cervical, je ne le connaissais pas celui-là!!)

D’après les recherches du Technion de Haïfa, les symptômes de cette maladie sont divers : extrême fatigue, douleurs physiques, troubles du comportement et problèmes sexuels.

Le Technion met au point à travers ses programmes des méthodes de plus en plus sophistiqués encore au stade expérimental : la télémédecine et la téléradiologie en sont des exemples. (???)

Aussi, afin de remédier à la sclérose en plaques, le Technion s’associe à des entreprises pharmaceutiques comme Teva qui a déjà produit un médicament pour guérir ce fléau.

Cette association entre un centre de recherche et une entreprise multinationale témoigne du succès de la silicon valley israélienne et de la culture entrepreneuriale qui la caractérise.

Cette soirée a donc été l’occasion de sensibiliser les publics français et israéliens sur les causes, les effets, les traitements actuels et les défis à relever autour de cette maladie : la sclérose en plaques nécessite en effet des investissements conséquents.

Yoni Abittan


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