Le Revenu de solidarité active (RSA), mesure phare du gouvernement pour lutter contre la pauvreté, semble avoir du plomb dans l’aile. Mais son promoteur, Martin Hirsch, entré au gouvernement comme Haut-commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté, entend le défendre, en dépit du bémol formulé mardi par François Fillon, qui le trouve «trop coûteux».
quant à Martin Hirsch, Il estime que «trois milliards d’euros pour deux millions de pauvres en moins, c’est rentable». Le Premier ministre était moins enthousiaste: «Il y a d'autres alternatives, on est en train de travailler avec Martin pour voir comment mettre en oeuvre ce principe sans augmenter les dépenses publiques»,traduction de Martin Hirsch : «Il souhaite que je redouble d’imagination pour trouver les voies et moyens pour faire passer le gros bébé». Un gros bébé qui vise à encourager le retour à l’emploi des bénéficiaires de minima sociaux en permettant le cumul des revenus de solidarité et des revenus du travail.Déjà, les salariés se plaignent de leur pouvoir d'achat . Maintenant , s'il faut claquer le budget pour ceux qui ne rapportent rien ...Bah ..putains de pauvres. Non, autant donner plus au riches , un vrai retour sur investissement avec plus de consommation, de l'ISF ..Quoique ..l'éco-pastille ne marche pas fort, les grosses cylindrées n'ont pas la côte. Bah ..putains de riches !