Laval: vol de chiens à l’animalerie Rouki Froufrou

Publié le 28 décembre 2012 par Nuage1962

Si vous voyez une annonce de chihuahua teacup ou de Morkie assuré vous que ce ne sont pas les chiens qui ont été volées dans une animalerie a Laval …
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Laval: vol de chiens à l’animalerie Rouki Froufrou

Quatre chiens, deux minuscules chihuahuas et deux «morkies» (un mélange de yorkshire terrier et de bichon maltais), d’une valeur totale de 7000$, ont été volés à l’animalerie Rouki Froufrou, à Laval.

PHOTO BRANDON SUN, LA PRESSE CANADIENNE

PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD
La Presse

Quatre chiens de grande valeur ont été volés la nuit dernière à l’animalerie Rouki Froufrou, à Laval. C’était le troisième cambriolage en deux mois dans ce commerce du boulevard Le Corbusier.

La première fois, les voleurs se sont emparés de la caisse et ont vandalisé le bureau. La semaine dernière, des malfaiteur sont encore une fois pénétré dans l’animalerie en pleine nuit, mais ils se sont enfuis avant d’avoir pu s’emparer de quoi que ce soit, apeurés par l’arrivée des policiers.

Cette fois, ils ont pénétré dans la boutique Rouki Froufrou en fracassant une vitrine, puis en sautant par-dessus une grille antivol installée récemment.

Ils ont volé quatre chiens, deux minuscules chihuahuas et deux «morkies» (un mélange de yorkshire terrier et de bichon maltais), d’une valeur totale de 7000$. Le plus cher d’entre eux, un chihuahua teacup, vaut 3000$. Cette race est si frêle que les portées doivent souvent être mises bas par césarienne.

«Les voleurs n’ont fait qu’entrer et ressortir. Ils n’ont touché à rien d’autre, alors d’après moi ils venaient chercher ça», a expliqué Édith Champigny, l’une des trois soeurs à qui appartient la boutique.

Mme Champigny en veut aux autorités lavalloises. Selon elle, la police aurait mis une dizaine de minutes à intervenir, alors que son commerce se trouve en plein coeur de la ville.

La copropriétaire de Rouki Froufrou demande au public d’ouvrir l’oeil afin de retrouver les malfaiteurs, qui chercheront vraisemblablement à revendre leurs prises. Les annonces virtuelles louches devraient être signalées, a-t-elle fait valoir.

«Quand les gens disent qu’ils sont éleveurs, les clients doivent vérifier. Où sont les parents des chiots? Quelle est la lignée? Quelles garanties les éleveurs donnent-ils?», a suggéré Mme Champigny.

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