Alors que le livre de l’Américaine Christine Lewicky : « J’arrête de râler » vient de se vendre à plus de 20 000 exemplaires n’oublions pas que cette exception Française du râleur national peut aussi servir de soupape de sécurité. Cela évite de craquer. C’est alors une voie pour éviter de ruminer et de sombrer dans un état dépressif. Par ailleurs, râler en groupe cela resserre les liens. N’est-ce pas une des raisons de la multiplication des grèves syndicales en France ? Pour finir, la Science est désormais du côté des râleurs : Plus on râle, plus notre espérance de vie augmente. C’est ce que semble prouver une récente étude de l’Université d’Iéna, en Allemagne. Les tests effectués auprès de 6000 patients démontrent qu’une intériorisation excessive de ses émotions entraîne une augmentation de la tension artérielle ce qui, par la suite, est la cause de cancers et autres maladies cardiaques. Je sens que je vais mourir très vieux !