Hier soir, je regardais ce film où un enfant pagayait sur un lac désert, dont les rives étaient libres de tout chalet, comme ces lacs des Laurentides de mon enfance. Puis j’ai réalisé qu’il y avait longtemps que je n’avais vu ni entendu aucun humain. Ça me reposerait.
Ce genre d'isolement devrait être un droit, voire une obligation annuelle. Quelques jours sans voir personne, ça calmerait bien des esprits. Au pire ça nous ferait des vacances d'André Pratte, ce qui n'est pas rien.