Magazine Humeur

Les tas de grasses

Publié le 04 avril 2008 par Brunoh
Si ça continue, le Président Sarkozy risque de devenir aussi populaire que Michel Fourniret et son amie Monique.
Vous savez, le chasseur de vierges et sa rabatteuse.
D’après l’avis des psys, il s’agirait d’une personnalité souffrant d’un complexe de supériorité et d’un irrésistible besoin de domination.
(Je parle bien évidemment de Fourniret !)
Ajoutez-y un soupçon de sadisme, fort bien entretenu par une compagne qui se présente aujourd’hui à la barre comme victime de ses manipulations. Alors que, tout le monde le sait : derrière chaque grand homme se trouve une femme d’exception. Apparemment, derrière chaque criminel aussi. Dans certains cas d’ailleurs, même lorsqu’elle essaye désespérément de se cacher derrière le « grand » homme, la tête de la femme dépasse largement.
Même lorsque celui-ci porte des talonnettes.
Bref, tout ça pour dire qu’au-delà d’un taux de popularité comparable à celui de Fourniret dans la communauté des vierges belges (On sait désormais à qui Lara Fabian doit son talent exceptionnel pour hurler sur scène : « J’y crois encore »), notre président peut, lui aussi, se targuer de posséder une femme qui contribue grandement à l’épanouissement de sa carrière. En effet, pendant que les chefs d’Etat du monde entier s’extasient sur la plastique de Carla, ils passent moins de temps à juger la qualité de la politique étrangère présidentielle.
Coïncidence troublante : pendant que je vous écris ces lignes, ce jeudi 3 avril 2008, peu après 23h00, commence sur France 2 une émission consacrée à un autre célèbre couple présidentiel.
Celui de Bill et Hillary Clinton.
Sauf que là, on sait qui portait la culotte : Monica.
Sans être mauvaise langue et sans faire la fine bouche.
Et dans ce cas, le pardon féminin peut se révéler la pire des vengeances.
Hillary a ainsi dû sérieusement se poser la question, avant de faire preuve de mansuétude face aux écarts de son mari. Puis, finalement, elle s’est dit que le pardon pourrait davantage servir sa carrière : le grand homme, devenu marchepied, n’avait plus qu’à bien se tenir !
J’en connais d’autres, en France, qui auraient divorcé pour moins que ça. À droite comme à gauche. Et après, on s’étonne d’avoir autant de difficultés à élire une femme à la tête de notre pays. Je n’ose même pas imaginer un homme de couleur… Obama, c’est pas chez nous qu’il casserait la baraque ! Même avec une femme ex-mannequin, qui aurait donné sa voix pour lui, faute de savoir donner de la voix lors de ses concerts. Pourtant, de Carla à Lara, il n’y a qu’un C, comme ?…

Retour à La Une de Logo Paperblog

Magazine