Enfants des réfugiés Syriens
Zaatari, Jordanie – Ces gueux disent vouloir sauver les Syriens ? Qu’ils aillent en Jordanie pour commencer, avant de venir aider Bachar al-Assad à éliminer la vermine wahhabo-salafo-terroriste. Les réfugiés syriens logés dans un camp jordanien ont attaqué les travailleurs humanitaires avec des bâtons et des pierres, ce mardi. Ces pauvres Syriens, frustrés, suite aux pluies torrentielles, le froid, des vents violents, ont vu leurs tentes inondées, les rues alentours boueuses. Selon la police, sept travailleurs humanitaires ont été blessés.
A l’approche des tempêtes de neige majeure qui menace la Jordanie et la Turquie, les réfugiés sont sur le point de faire face à une misère encore plus grave qu’en Syrie. Mais, à qui la faute ? A Bachar al-Assad ou à ceux qui agressent la Syrie ? Avec la même veine, au lieu de venir en aide à ces enfants, femmes et hommes, les journalistes s’arrangent pour interviewer essentiellement et uniquement des anti-Assad.
Quand des émeutes éclatent ainsi, c’est que la situation est grave. Le camp de réfugiés de Zaatari qui abrite près de 50.000 Syriens dans le désert du nord de la Jordanie, ressemble à un mouroir. Alors que la Jordanie crie sur tous les toits, sa propagande anti-Assad, elle n’arrive pas à faire face à cet afflux de réfugiés. Avec des femmes enceintes, des nourrissons et des enfants malades, la fameuse « communauté internationale » est où ?
Ces gueux parlent de 60 000 morts, gueulent partout, crient, jubilent parfois quand leurs protégés commentent des attentats mais, pourquoi ne vont-ils pas aider les Syriens à Zaatari ? C’est eux qui sont à l’origine des malheurs des Syriens. Le Qatar préfère financer et donner des armes aux terroristes, acheter les joueurs de Al Qaïda FC l’ancien PSG à prix d’or mais, ne donne pas à manger aux Syriens. Cherchez l’erreur ! Alors, à tous ceux qui jouent les indignés, qu’ils se rendent en Jordanie avec des sacs de riz ou des tentes.
Les réfugiés syriens les plus honnêtes avouent aujourd’hui qu’il est préférable de rentrer chez eux mais l’obstale, ce n’est pas Bachar al-Assad mais les terroristes. Fichtre.